séquence6ème : récits de création. période d'essai contrat intérim By Inpoésie des yeux pour voir Add Comment
A partir de l'avancée rapide des sciences et des grandes découvertes scientifiques de ces derniers temps, beaucoup de personnes se demandent Comment le monde a-t-il été formé ? Comment la vie a-t-elle surgi sur terre ? Qu’est-ce que la Bible nous dit à ce propos ? Y a-t-il contradiction entre la Bible et la science ? Prenons le temps d’approfondir ces thèmes. D'entrée de jeu, disons que la Bible n'est pas un livre de science mais un livre théologique, un livre inspiré par Dieu. Et, s'il est vrai qu’on y trouve les réponses dont le croyant a besoin pour son salut, il n'est pas moins vrai qu’on n'y rencontre pas toutes les réponses scientifiques que l’homme souhaiterait trouver dans ses recherches. Et cela, simplement, parce que Dieu l'a voulu ainsi. Le plan de Dieu pour l'homme, c'est qu’il découvre progressivement, avec son intelligence et sa raison, par lui-même, quelle est l’origine de l’humanité et de l'univers. 1. Qui a fait le monde ? La réponse théologique à cette question est donnée par la Bible dans le livre de la Genèse “Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre". En tant que chrétiens, nous croyons donc que le monde et tout ce qu'il contient ont été créés par Dieu. Il est l'Etre Suprême, Immanent, Transcendant. Dieu a créé le monde et rien n'échappe à son action créatrice. De plus, avec son pouvoir et sa sagesse infinie, Il continue de créer et de renouveler toutes les choses. Or, comment Dieu a-t-il créé le monde que nous voyons aujourd'hui et la vie de l’être humain ? Cela n'est pas dit par la Bible aussi clairement qu’on le souhaiterait car il ne s’agit pas là d’une donnée essentielle à notre salut. Le comment, c'est quelque chose que l’homme doit progressivement découvrir au fur et à mesure que les années s'écoulent et que les recherches avancent. Pendant des siècles, l’immense majorité de chrétiens, ayant interprété littéralement les paroles de la Bible, a pensé que Dieu avait créé toutes les choses dès le début telles que nous les voyons maintenant. C'est dire que Dieu aurait placé chaque astre à sa place pour qu'il continue à tourner dans le firmament, selon l'orbite assignée à chacun. On croyait aussi que Dieu avait fait les montagnes, les sentences, les plantes, les animaux et l'homme lui-même, tel que nous le voyons actuellement et que chaque espèce avait eu des descendants, semblables en tout et toujours, à leurs progéniteurs. C’était la une lecture de la Bible qu'on pourrait dire fondamentaliste. C’est-à-dire une lecture qui interprétait chaque phrase au sens littéral, sans prêter aucune attention au genre littéraire utilisé par les auteurs dans leurs narrations. C’était une lecture manquant de sens critique et littéraire. Aujourd'hui, les sciences humaines ont beaucoup avancé et elles nous assurent que ces récits ne sont pas historiques, au sens actuel du mot, mais qu’ils présentent les faits dans le cadre d'une culture orientale qui s'exprimait de préférence à travers des signes et des images. On pourrait considérer les chapitres de la création dans la Genèse comme un beau poème qui, sur le plan religieux, a des choses à nous dire. 2. Alors qu'est-ce que la Bible veut nous dire ? En termes de foi, ce que la Bible veut nous faire comprendre à travers les premiers chapitres de la Genèse, c'est que Dieu créa la matière et lui communiqua un premier élan afin que celle-ci, à travers les transformations successives survenues au long de millions d’années, puisse générer la vie des plantes, des animaux et de l'être humain. C’est-à-dire que Dieu, avec son pouvoir infini, créa la matière à partir du néant et lui infusa un élan créateur afin qu'en se développant, elle devienne ce que nous voyons aujourd'hui. La création n’est pas alors quelque chose du passé. Elle n'a pas été un fait survenu il y a des millions d'années. La création fut et continue. La création n’est pas finie. Aujourd'hui encore, Dieu, en conservant le monde, continue de créer et Dieu lui-même continue d'accompagner cette évolution vers sa totale plénitude. Cette interprétation, originale et en accord avec la science, est née au début du XXe siècle et nous la devons à un homme exceptionnel, un prêtre jésuite appelé Teilhard de Chardin. Elle a l’avantage de faire la synthèse entre la foi et les sciences actuelles. D'après cette interprétation, foi et science, non seulement ne s'opposent pas, mais se complètent mutuellement. 3. Comment Dieu a-t-il créé la terre et le firmament ? La science nous dit que l’univers est constamment en train de changer; que les galaxies s'éloignent les unes des autres à la vitesse de 600 000 kilomètres par seconde ; que l'univers se transforme à chaque instant. Plus la science avance, plus l'homme reste émerveillé face à la grandeur de l'univers et à la petitesse de la planète Terre. Aujourd'hui, la science croit qu'il y a des milliers de millions d’années, la matière dont les astres, les planètes et la Terre sont constitués était comme une grande masse informe. Tout était comme un astre immense qui subit, à un moment donné, une grande explosion que les scientifiques appellent big bang. Selon cette théorie, l'univers se serait formé il y a environ quinze milliards d’années à la suite de cette grande explosion originelle qui aurait provoqué l’émission de protons, de neutrons, d'électrons et de photons à une température très élevée. Et après un très long processus de fragmentation et de descente de ces températures qui atteignaient des millions de degrés, les astres, les planètes, les étoiles commencèrent à apparaître tels que nous les voyons, et parmi eux, la Terre, cette petite planète que nous habitons. Lorsqu'elle se refroidit et lorsque les conditions devinrent adéquates, lentement, au long de millions d'années, la vie surgit. 4. Comment la vie et l’être humain ont-ils surgi ? Lorsque sur la terre il y eut donc les conditions adéquates pour la vie la température, l’eau, l'air l’apparition d’un échelon primitif d'être vivants commença. Tout d'abord, ce fut une vie très primaire et, après, la vie végétale et la vie animale apparurent. Les êtres les plus primitifs étaient des noyaux de cellules. Ensuite, par des transformations successives, firent leur apparition de nouveaux genres de vie, aussi bien végétale qu'animale. Peu à peu apparurent les mers, les plantes, les poissons et les oiseaux. Et c'est ainsi qu'au long du temps, la vie alla en se développant jusqu’à devenir ce qu'elle est aujourd’hui. Cette manière d'agir de Dieu non seulement ne diminue pas son pouvoir divin mais, au contraire, le magnifie et l'agrandit. La vie dans la mer et dans l'air surgit après des millions d’années de mutations et de transformations. Les êtres vivants naissaient, se développaient et s'adaptaient progressivement à leur milieu. Les uns restèrent dans les mers, d'autres émergèrent des eaux vers la terre et, en évoluant, ils s'adaptèrent à leur nouveau milieu. C’est le naturaliste anglais Darwin qui a été amené à cette découverte à partir de ses observations sur le terrain. Cette théorie, appelée évolutionniste a remplacé la théorie fixiste qui est incapable de rendre compte des faits l’existence de squelettes légèrement modifiés. D'après cette interprétation donc, Dieu aurait donné à la création l’élan initial, et aurait fixé les lois de la nature. Celle-ci, en obéissant à l'élan du Créateur, à travers une longue chaîne de transformations, serait arrivée à générer les différentes espèces de plantes, oiseaux, poissons et autres animaux ; et c'est de l'une de ces espèces, choisie au préalable par le Créateur, que serait sorti l’homo sapiens. Dans n’importe quel livre de biologie, on explique aux élèves, avec des dessins, comment la vie animale a surgi de la mer et comment, au cours de millions d'années, elle est allée en s'adaptant au terrain sec. On ajoute aussi comment notre ancêtre marchait d'abord à quatre pattes, pour se redresser ensuite progressivement, cheminant à la fin sur deux pieds. A partir des collections de crânes qui ont été examinés, on montre comment les formes du cerveau humain ont évolué et se sont agrandies jusqu'à devenir celle de l’homo sapiens. La foi chrétienne nous dit qu'il n'y a dans tout cela aucune contradiction avec la Bible ni avec notre dignité. Et que cela ne réduit ni ne diminue en rien le pouvoir du Dieu Créateur. Déjà, le Pape Pie XII dans son Encyclique Humani Generis, en 1950, affirmait qu'il n'était pas contraire à la foi de reconnaître au corps de l'homme une origine, qui aurait pu être une matière vivante, pourvu que l'on maintienne que les âmes sont créées directement par Dieu, ce qui est compatible avec un certain évolutionnisme. Il faut noter ici comment l'Église, Mère et Maîtresse, y compris dans l’interprétation de la Bible, insiste sur le fait que l’homme est formé d’un corps et d’une âme et que celle-ci ne peut pas être le fruit de cette évolution mais que l’âme de chaque être humain est créée directement par Dieu. De là, la grande différence de l'être humain par rapport aux animaux. C’est pourquoi nous croyons que, lorsque la matière en évolution fut suffisamment préparée, Dieu infusa dans l'espèce humaine – ou dans ce tronc d'où l'espèce humaine devait sortir – une âme spirituelle et immortelle. La création de l'âme, ce qui en définitive confère à l'homme sa dignité, est une action directe et immédiate du Créateur. Aujourd’hui encore, la doctrine catholique soutient que lorsque homme et femme s’unissent et qu'une nouvelle vie est générée, c'est alors que Dieu crée pour chaque être humain une âme unique et qu'on ne peut répéter. 5. Quelle place l’homme occupe-t-il dans la création ? En tant que chrétiens, il faut rappeler notre conviction que l’homme n'a pas surgi par hasard dans cette évolution des espèces et qu'il n'a pas été la simple conséquence de l'élan initial de Dieu. L’homme est apparu sur terre comme le fruit de la volonté et du projet de Dieu. La Bible y met une grande insistance. Tout a été créé pour l’homme et l’homme pour Dieu; c'est pourquoi nous aimons dire que l'homme est le roi de la création. L'être humain est créé par Dieu dans ce qu'il a de plus spécifique et il est supérieur à tous les êtres vivants. L'homme est corps et esprit, ou mieux, esprit incarné. Il possède la conscience, la liberté, la capacité d'aimer, ce qui représente le point culminant de l'œuvre de Dieu et les traits de ressemblance avec Dieu. 6. En résumé Des millions de personnes, des siècles durant, ont interprété les premiers chapitres de la Genèse de façon littérale; elles ont pensé que Dieu a créé le monde en six jours semblables à nos jours actuels et que tout fut créé tel qu'on le voit aujourd’hui. Il s'agit de l’explication fixiste. Mais de nos jours, en accord avec le progrès de la science et sans rien contredire de la donnée révélée, nous pouvons accepter l’interprétation évolutionniste, selon laquelle Dieu créa la matière et lui donna le premier élan créateur. Et, au moment choisi par lui-même, grâce à une intervention de sa part, il créa l’âme d'où surgira l'être humain. C’est dans ce contexte que le texte de saint Paul aux Colossiens 1, 15-20 s’éclaire d'une nouvelle lumière Paul présente la mission rédemptrice du Christ – centre de la création – qui divinise les hommes dans une spirale ascendante jusqu'à la plénitude de leur vocation divine, lorsque la fin des temps sera arrivée. Pour réfléchir 1. Quelle est la portée de cette affirmation “La Bible n'est pas un livre de science, mais un livre théologique " ? 2. Qu'est-ce que la Bible nous révèle et qu'est-ce qu’elle ne nous révèle pas par rapport a la création ? 3. Comment faut-il comprendre les chapitres du Livre de la Genèse concernant la Création ? 4. Y a-t-il contradiction entre les récits bibliques de la Création et les théories scientifiques modernes ? 5. Peut-on concilier la foi en Dieu Créateur et la pensée de la science moderne par rapport à l’origine et à l'évolution de l’univers et de la vie ? 6. Que voulons-nous dire quand on affirme que “la création n’est pas finie" ? 7. Quelle est la pensée de l’Église par rapport à la création de l’homme en tant qu’être unique et spirituel ? 8. Peut-on soutenir que l'apparition de l’homme sur terre n’a été que la conséquence par hasard de l'élan initial donné par Dieu à la nature ? 9. Pourquoi l’homme représente-t-il le point culminant de l'œuvre créatrice de Dieu ? Père Carlos Orduna DiezClerc de Saint Viateur1999textephilosophique sur lenfance; aix marseille ecandidat; lurem former 310 s' Menu Toggle. حلمت أن الدكتورة تقول انتي حامل ببنت; 12 types of givers in the bible; corrigé bts tourisme nouméa 2018; processus de fabrication du pain pdf; pantalon jean avec fente; sujet et MadameBNiveau 1Bonjour à tous, Je tiens tout d'abord à remercier tous ceux qui contribuent à ce forum que je lis régulièrement et qui m'apportent beaucoup d'aide !Néo-tit en collège à la rentrée après une année de stage en lycée, j'aurai une classe de compte commencer l'année par une séquence sur la poésie en m'intéressant plus particulièrement au pouvoir créateur de la parole poétique et au travail du poète. J'ai constitué un groupement de texte dans cette thématique - "un poème" de Queneau - "tu dis sable" de joseph paul Schneider- " Le menuisier " de Guillevic- " Mes outils d'artisan " de Tardieu- " Pour un art poétique " de Queneau- "Passage d'un poète" d'Alain Bosquet pour l'évaluationEn regardant ma séquence dans l'ensemble, je me rends compte qu'elle ne contient que des poèmes du XXe et assez peu de poètes "classiques". Qu'en pensez-vous ? Auriez-vous des idées de poèmes d'autres siècles évoquant l'écriture poétique et accessibles aux élèves de 6e ?Un grand 6Rien ne me vient comme ça mais ta séquence me semble intéressante. Peux-tu nous la détailler? ils se rapprochèrent de plus en plus, et, comme deux gouttes de rosée roulant sur la même feuille de lis, ils finirent par se confondre dans une perle unique."MadameBNiveau 1bibi Oui bien-sûr. Elle n'est pas encore tout à fait prête et comporte sûrement de nombreux défauts mais voici ce que je compte faire SÉQUENCE 1 Le pouvoir des mots en poésie SÉANCE 1 un poème, qu'est-ce que c'est ? À quoi ça sert ?Problématique Qu'est-ce qu'un poème ? Quels sont ses pouvoirs/effets ? Objectifs Découvrir ou redécouvrir la forme du poème en versDéfinir la poésie et le poème Comprendre l'importance des mots dans un poèmeS'interroger sur les effets/les pouvoirs du poèmeÊtre sensible à la musicalité du poème rendue par la répétition Texte support " Un poème " de Queneau=> Recueil des connaissances et représentations des élèves concernant la poésie puis distribution du poème = rapide lecture analytique Bilan tentative de définition de la poésieSÉANCE 2 Le pouvoir créateur du poème Problématique En quoi le poème a-t-il un pouvoir créateur ?Objectifs Comprendre le pouvoir évocateur des mots dans un poème S'interroger sur les effets/les pouvoirs du poèmeÊtre sensible à la musicalité du poème rendue par la répétition Écrire à la manière de Schneider / écrire sous la contrainte Texte support " Tu dis " de J. P. Schneider=> Avant de distribuer le texte demander aux élèves ce qu'évoquent pour eux ces quatre mots sable, forêt, colline, nuage puis lecture du texte comparaison avec ce à quoi ils ont penséLA du poème avec remarque sur la structure Activité d'écriture pour expérimenter le pouvoir évocateur des mots Étape 1 Sur le modèle de Joseph Paul Schneider, dans le poème " Tu dis ", imaginez ce qui peut se passer lorsque vous prononcez les mots " océan ", " vent ", " pluie ", " soleil ". activité menée à 2 puis mise en commun Étape 2 Sur le modèle de Joseph Paul Schneider, dans le poème " Tu dis ", choisissez maintenant quatre mots qui vous inspirent et écrivez un poème en conservant la structure du poème "Tu dis". N'hésitez pas à être originale ! activité menée individuellementLorsque vous avez fini d'écrire, entrainez-vous à faire de votre texte une lecture orale et expressive. SÉANCE 3 Le présent 1hObjectifs Repérer le verbe conjugué dans une phrase Classer les verbes selon leur groupeConnaître les terminaisons du présent pour les trois groupes + être et avoirConjuguer différents verbes au présent SÉANCE 4 Comment le poète voit-il le travail d'écriture ? Problématique Comment les poètes voient-ils le travail d'écriture ?Objectifs Mieux comprendre le travail d'écriture du poèteS'interroger sur le travail de création d'un poème Textes supports " Le menuisier " de Guillevic " Outils posés sur une table " de Tardieu => Questions à l'oral En quoi ces textes ressemblent-ils à des poèmes ? Relevez les indices de la 1e et de la 2e personne. Relevez des sensations à quoi servent-elles ? A quoi est comparée la création d'un poème ? Relevez le champ lexical dominant. SÉANCE 5 Les natures grammaticales 2hObjectif revoir les principales classes grammaticales noms, adjectifs, déterminants, pronoms, adverbesÀ partir du texte de Tardieu et d'un extrait de La grammaire est une chanson douce SÉANCE 6 Une recette pour faire un poème ?"Pour un art poétique" de Queneau SÉANCE 7 L'impératif présent 1hObjectifs Reconnaître des verbes conjugués à l'impératifConnaître les terminaisons de l'impératif présentConjuguer des verbes des trois groupes à l'impératifÉcriture réécris le poème de Queneau " Pour un art poétique " en t'adressant à un enfant remplacer la deuxième personne du pluriel par la deuxième personne du singulier.SÉANCE 8 un poème d'un siècle différent ? "Voyelles" ?SÉANCE 9 évaluationTexte " Passage d'un poète " d'Alain Bosquet Questions Lisez le poème très attentivement et répondez aux questions suivantes La structure du poème 1 De combien de strophes le poème est-il composé ? Comment appelle-t-on ce type de strophe ? Pourquoi ? 2 Dans la première strophe, indiquez le nombre de syllabes du premier, du deuxième et du troisième vers. Comment appelle-t-on ces trois types de vers ? 3 Quelle structure de rimes est utilisée dans ce poème ? 4 Quelle expression est répétée plusieurs fois dans ce poème ? Recopie-la. À quels endroits du poème est-elle placée ? Comment appelle-t-on ce type de répétition ? Compréhension 5 Qui est le sujet principal du poème ? 6 Que se passe-t-il après chaque passage du poète ? 7 Relève une comparaison et une métaphore. Pour chacune, quel est le comparant ? Et le comparé ? 8 Pour toi, quel est le rôle du poète ? Quel pouvoir peut-il avoir lorsqu'il utilise les mots ?C'est un peu bazar pour le moment, il faut encore que je la retravaille mais si vous avez des remarques ou des conseils n'hésitez pas ! Ma séquence reprend en partie une séquence proposée sur le site de l'académie d'Aix Marseille, voici le lien génie MadameB a écritEn regardant ma séquence dans l'ensemble, je me rends compte qu'elle ne contient que des poèmes du XXe et assez peu de poètes "classiques". Qu'en pensez-vous ? Auriez-vous des idées de poèmes d'autres siècles évoquant l'écriture poétique et accessibles aux élèves de 6e ?Un grand merci. Je trouve également gênant de ne proposer que peu de poésie classique, mais c'est un des problèmes posés par les thèmes imposés de ces programmes lamentables. SÉANCE 3 Le présent 1hObjectifs Repérer le verbe conjugué dans une phrase Classer les verbes selon leur groupeConnaître les terminaisons du présent pour les trois groupes + être et avoirConjuguer différents verbes au présent SÉANCE 5 Les natures grammaticales 2hObjectif revoir les principales classes grammaticales noms, adjectifs, déterminants, pronoms, adverbesÀ partir du texte de Tardieu et d'un extrait de La grammaire est une chanson douce SÉANCE 7 L'impératif présent 1hObjectifs Reconnaître des verbes conjugués à l'impératifConnaître les terminaisons de l'impératif présentConjuguer des verbes des trois groupes à l'impératifÉcriture réécris le poème de Queneau " Pour un art poétique " en t'adressant à un enfant remplacer la deuxième personne du pluriel par la deuxième personne du singulier. Je trouve peu cohérente ta progression grammaticale, surtout pour un début d'année de 6e. Avant d'étudier le présent de l'indicatif, je crois utile d'apprendre à distinguer temps simples et temps composés, ce qui n'a rien d'évident pour bien trop d'élèves en début de 6e. Enchaîner avec l'impératif présent sans aborder la notion de mode d'une façon simplifiée évidemment me paraît prématuré et risque d'amener de la confusion dans l'esprit des élèves. Je te conseillerais bien de construire une progression grammaticale indépendante qui te permettrait de proposer une approche de la grammaire plus structurante pour les élèves. Attention, les natures grammaticales représentent un gros morceau. Pourquoi associer l'étude des adverbes à celle de classes de mots variables? MadameB a écritSÉANCE 1 un poème, qu'est-ce que c'est ? À quoi ça sert ? Quelle réponse comptes-tu apporter à cette deuxième question? Problématique Qu'est-ce qu'un poème ? Quels sont ses pouvoirs/effets ? Texte support " Un poème " de Queneau Remarque de lexique qui ne préjuge pas du travail mené en classe! je trouve triste de réduire un poème à l'idée de support. Le but de la séance n'est-il pas de découvrir, d'étudier, de comprendre un poème? De le lire? Problématique En quoi le poème a-t-il un pouvoir créateur ? Je ne suis pas sûre que cela soit très adapté à des 6e. La problématique n'a rien d'obligatoire. 7 Relève une comparaison et une métaphore. Pour chacune, quel est le comparant ? Et le comparé ? Trop difficile en début de 6e. 8 Pour toi, quel est le rôle du poète ? Quel pouvoir peut-il avoir lorsqu'il utilise les mots ? PaperNiveau 10J'aime beaucoup tes idées de poèmes. Il y a aussi Vincent Voiture "Ma foi c'est fait de moi"PoèmeEt sa parodie moderne Ma foi c'est fait de moi...J'ai niGénieNi talent Je l'attends, tandisQue j'en dis tant,VoilàLa édition par The Paper le Mar 6 Aoû 2019 - 1558, édité 1 fois_________________Etude de "Manon Lescaut" 1 Provence a écritJe trouve également gênant de ne proposer que peu de poésie classique, mais c'est un des problèmes posés par les thèmes imposés de ces programmes lamentables. C'est en effet en essayant de coller à la thématique du programme que je n'ai trouvé que des poèmes du XXème. Je trouve peu cohérente ta progression grammaticale, surtout pour un début d'année de 6e. Avant d'étudier le présent de l'indicatif, je crois utile d'apprendre à distinguer temps simples et temps composés, ce qui n'a rien d'évident pour bien trop d'élèves en début de 6e. Enchaîner avec l'impératif présent sans aborder la notion de mode d'une façon simplifiée évidemment me paraît prématuré et risque d'amener de la confusion dans l'esprit des élèves. Je te conseillerais bien de construire une progression grammaticale indépendante qui te permettrait de proposer une approche de la grammaire plus structurante pour les élèves. Attention, les natures grammaticales représentent un gros morceau. Pourquoi associer l'étude des adverbes à celle de classes de mots variables? La progression en langue est un de mes gros points faibles n'en ayant pas fait l'année dernière. Tu me conseilles donc plutôt de partir d'analyses plus générales sur temps simples/temps composés, les modes ... avant d'entrer dans le détail ? Je m'étais appuyée sur la progression présentée dans le manuel utilisé au collège et le présent apparaissait en premier. Il n'est également pas question de modes dans le sommaire du manuel, ni même de distinction entre temps simple et temps composé. Quelle réponse comptes-tu apporter à cette deuxième question? Je pensais aux émotions que peuvent provoquer un poème "mais d'autres fois on pleure on rit / en écrivant la poésie / ça a toujours kékchose d'extrème / un poème". La question n'est sûrement pas très adaptée. Remarque de lexique qui ne préjuge pas du travail mené en classe! je trouve triste de réduire un poème à l'idée de support. Le but de la séance n'est-il pas de découvrir, d'étudier, de comprendre un poème? De le lire? Notre formatrice de l'année dernière nous en avait parlé. Je suis d'accord sur le principe mais je trouve pratique d'utiliser cette expression lorsque je travaille sur la préparation des cours. Trop difficile en début de 6e. Je n'ai jamais travaillé avec des si petits, j'ai du mal à me rendre compte de ce qui est accessible ou trop difficile. Merci beaucoup pour cette remarque, je vais simplifier ces deux questions. MadameBNiveau 1 The Paper a écritIl y a aussi Vincent Voiture "Ma foi c'est fait de moi" Je ne connaissais pas ce poème. Il pourrait en effet avoir sa place dans ma séquence, merci beaucoup !BibiNiveau 6Je fais la comparaison en début de 6eme avec des comparaisons faciles à analyser et ça ne pose pas de ils se rapprochèrent de plus en plus, et, comme deux gouttes de rosée roulant sur la même feuille de lis, ils finirent par se confondre dans une perle unique."miss sophieExpert Provence a écrit 7 Relève une comparaison et une métaphore. Pour chacune, quel est le comparant ? Et le comparé ? Trop difficile en début de 6e. Les termes "comparé" et "comparant" risquent en effet de poser problème, mais si on a travaillé sur comparaison et métaphore dans le chapitre, rien n'empêche en évaluation de demander à l'élève d'en relever ou d'en identifier une comment s'appelle la figure de style du vers x ? ou d'expliquer un passage de quoi parle le poète ? à quoi compare-t-il cela ?.BibiNiveau 6Je parle de comparé et de comparant, les élèves ils se rapprochèrent de plus en plus, et, comme deux gouttes de rosée roulant sur la même feuille de lis, ils finirent par se confondre dans une perle unique."ProvenceBon génie MadameB a écritC'est en effet en essayant de coller à la thématique du programme que je n'ai trouvé que des poèmes du XXème. Célébrer le monde, ça peut être aussi célébrer la nature. S'interroger sur le langage poétique, c'est le principe d'un chapitre sur la poésie. Et cela permet d'étudier des poèmes plus classiques. La progression en langue est un de mes gros points faibles n'en ayant pas fait l'année dernière. Tu me conseilles donc plutôt de partir d'analyses plus générales sur temps simples/temps composés, les modes ... avant d'entrer dans le détail ? Je m'étais appuyée sur la progression présentée dans le manuel utilisé au collège et le présent apparaissait en premier. Il n'est également pas question de modes dans le sommaire du manuel, ni même de distinction entre temps simple et temps composé. Je te conseille de jeter un œil, par exemple, aux progressions du manuel TDL qui ne propose pas, pour la grammaire, une simple superposition de notions vues les unes après les autres. En 6e, il ne faut pas partir du principe que les choses sont bien établies et que l'on pourra passer vite sur des révisions. La plupart du temps, les élèves savent réciter la liste les conjonctions de coordination, par exemple, mais sans être capable d'expliquer ce que signifie le terme "conjonction". C'est cette compréhension du système linguistique et du langage grammatical qu'il faut construire peu à peu, en prenant le temps de bien poser les basesn de commencer par le commencement de manière que les élèves s'y retrouvent dans la durée. Je vais essayer de te retrouver des liens sur le sujet. Sache, en tout cas, que le modèle de la séquence pédagogique n'est en rien obligatoire. Je pensais aux émotions que peuvent provoquer un poème "mais d'autres fois on pleure on rit / en écrivant la poésie / ça a toujours kékchose d'extrème / un poème". La question n'est sûrement pas très adaptée. La question est très fermée. Que faut-il retenir de ce texte, ça fonctionne aussi. miss sophie a écrit Provence a écrit 7 Relève une comparaison et une métaphore. Pour chacune, quel est le comparant ? Et le comparé ? Trop difficile en début de 6e. Les termes "comparé" et "comparant" risquent en effet de poser problème, mais si on a travaillé sur comparaison et métaphore dans le chapitre, rien n'empêche en évaluation de demander à l'élève d'en relever ou d'en identifier une comment s'appelle la figure de style du vers x ? ou d'expliquer un passage de quoi parle le poète ? à quoi compare-t-il cela ?. Oui, je tiquais sur le caractère très techniciste des termes "comparé" et "comparant". Avec des 6e, il faut déjà vérifier la compréhension littérale du texte. On peut ensuite remarquer que le poète emploie des images pour éclairer le sens du texte, sans partir à la chasse à la figure de style dès la génieBibiNiveau 6Comparé et comparant oui c'est technique mais cela permet aux élèves de comprendre qu'un premier élément est rapproché d'un deuxième et ce sont des notions dont ils auront besoin alors autant les introduire en même temps me ils se rapprochèrent de plus en plus, et, comme deux gouttes de rosée roulant sur la même feuille de lis, ils finirent par se confondre dans une perle unique."ProvenceBon génie Bibi a écritComparé et comparant oui c'est technique mais cela permet aux élèves de comprendre qu'un premier élément est rapproché d'un deuxième Ils n'ont pas besoin d'employer ces termes pour le comprendre. De façon générale, le jargon complique les choses et n'aide pas à la compréhension du texte. et ce sont des notions dont ils auront besoin A quel moment en auront-ils besoin? Je trouve, tous les ans, dans des copies de brevet rédigées par des élèves visiblement appliqués "Il y a une comparaison car gnagnagni est le comparé et gnagnagna le comparant." Et, généralement, cela s'arrête là. Je préfère qu'ils écrivent "Truc est comparé à plofplof, ce qui crée une impression de...". Le repérage seul, technique, descriptif, n'a pas grand intérêt à mon 6On est d'accord. Je parle d'un repérage précis et technique lié à une analyse impression, pas juste le repérage pour le repérage..._________________"Bientôt ils se rapprochèrent de plus en plus, et, comme deux gouttes de rosée roulant sur la même feuille de lis, ils finirent par se confondre dans une perle unique."MadameBNiveau 1Merci beaucoup Provence pour les liens et les conseils, je vais regarder tout cela et repenser ma première séquence et ma progression grammaticale. Je suis bien entendu d'accord avec vous concernant les repérages liés à l'analyse et la compréhension littérale du texte. ProvenceBon génieMadameB, pense à faire beaucoup travailler le vocabulaire, la compréhension en lecture et la rédaction, même sur de courts exercices, quitte à faire étudier moins de textes. Ce sont des enjeux majeurs au collège. MadameBNiveau 1 Provence a écritJe te conseille de jeter un œil, par exemple, aux progressions du manuel TDL qui ne propose pas, pour la grammaire, une simple superposition de notions vues les unes après les autres. Je n'ai malheureusement pas le TDL 6e, seulement celui de 5e. Quelqu'un accepterait-il de m'envoyer une photo du sommaire de l'étude de la langue du TDL 6e ? Merci d' 1 Provence a écritMadameB, pense à faire beaucoup travailler le vocabulaire, la compréhension en lecture et la rédaction, même sur de courts exercices, quitte à faire étudier moins de textes. Ce sont des enjeux majeurs au collège. J'y penserai !ProvenceBon génie MadameB a écrit Provence a écritJe te conseille de jeter un œil, par exemple, aux progressions du manuel TDL qui ne propose pas, pour la grammaire, une simple superposition de notions vues les unes après les autres. Je n'ai malheureusement pas le TDL 6e, seulement celui de 5e. Quelqu'un accepterait-il de m'envoyer une photo du sommaire de l'étude de la langue du TDL 6e ? Merci d'avance. Tu l'as ici 1Sujets similaires[6e] Récits de création ; création poétiqueRécit de création / Création poétique 6e[6e - séquence Création poétique] Poésie francophone africaineanthologie poétique 6eanthologie poétique en 6eSauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum . 0 377 317 467 370 52 256 60