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Bien au contraire, elle se rĂ©veillait toujours vers midi mais lĂ  s'Ă©tait diffĂ©rent. Son cours se dĂ©roulait le matin. Et oui elle avait laissĂ© sa place de professeur d'astronomie pour prendre celle de professeur de divination. PsychĂ© Ă©tait habituĂ©e Ă  vivre en partie la nuit, avec les Ă©toiles. Et la nuit derniĂšre, elle avait encore observĂ© les Ă©toiles sans se soucier du lendemain. Mais voila qu'aujourd'hui elle n'arrivait pas Ă  se tirer du lit. Dans un effort colossale, elle parvint enfin Ă  se lever et se dirigea pĂ©niblement vers sa salle de bain, les yeux mi-clos. Une bonne douche ne pouvait lui faire que du bien sauf que lĂ , elle se lavait avec de l'eau chaude, ce qui lui donnait encore plus envie de dormir. Donc pour se rincer elle prit la bonne rĂ©solution d'utiliser de l'eau froide. Elle frissonnait littĂ©ralement, elle avait une respiration profonde mais saccadĂ©e, elle ne supportait pas l'eau froide. AprĂšs cette douche, quelque peu dĂ©sagrĂ©able mais qui l'avait efficacement rĂ©veillĂ©e, elle s'installa sur une petit tabouret devant sa coiffeuse en acajou. D'un coup de baguette magique, elle sĂ©cha ses longs cheveux, puis prit une brosse qui Ă©tait rangĂ©e dans un petit tiroir. Avec elle coiffa ses cheveux, doucement, dĂ©licatement, de sorte Ă  ce qu'il n'y ai aucun noeud et qu'ils tombe parfaitement, tel de longues plumes soyeuses en or blanc. Elle souligna ses grands yeux gris pĂąle de noir ce qui eu pour effet des les faire ressortir et de les rendre plus expressif. Ses yeux n'Ă©taient plus gris acier mais d'un gris dĂ©lavĂ© qui vous fixait d'un air lasse mais dur. Elle se se leva et alla devant sa grande armoire. Hum comment s'habiller ? Soie. Avant tout, elle ne portait que de la soie mĂȘme en hiver, elle n'avait que de rare tenues en une autre matiĂšre. Elle chercha un instant avant de prendre une robe. Noire, toute simple mais sans manche avec un dĂ©colletĂ© en V, cintrĂ©e Ă  la taille. La jeune femme s'accroupie au sol pour trouver la bonne paire de chaussure. Elle avait un trĂšs grand choix, PsychĂ© collectionnait les chaussure. Elle opta pour une paire de ballerines noire, elles aussi toute simple. Elle scruta de haut en bas son reflet dans le miroir. Et ? Rien. Classique. La fraĂźcheur de l'automne commençai peu Ă  peu Ă  s'installer, elle jugea bon de prendre un chĂąle avec elle, vert Ă©meraude aux fines broderies d'argent. Juste avant de quitter son appartement pour aller prendre son petit dĂ©jeuner, elle repassa faire un tour rapide Ă  sa coiffeuse oĂč elle arrangea hĂątivement ses cheveux et sans rĂ©flĂ©chir, elle fouilla dans son tiroir pour en ressortir un serre-tĂȘte vert. Pourquoi portait-elle ça ? Elle mĂȘme ne le savait pas. Elle attrapa son sac devant la porte d'entrĂ©e tout en sortant en trombe. Elle se dĂ©pĂȘchait, elle avait prit du temps Ă  se prĂ©parer et elle ne voulait surtout pas arriver en retard le premier jour, elle dĂ©vala les marches de la tours quatre Ă  quatre. Elle courait mĂȘme dans les escalier, heureusement pour elle qu'elle avait renoncĂ© au talons, et priait intĂ©rieurement pour ne pas avoir Ă  faire de dĂ©tour. En effet, les escaliers avaient la fĂącheuse manie de toujours bouger quand elle voulait les prendre. Donc pour Ă©viter ce dĂ©sagrĂ©ment elle dĂ©valait les marches, courait comme une folle mais par un manque de chance, elle faillit tomber mais la jeune femme se raccrocha Ă  temps Ă  la rampe. Aie ! Sa cheville lui faisait affreusement mal mais pas le temps de s'attarder ! Elle continua Ă  avancer, mais bien moins vite. PsychĂ© arriva enfin dans la Grande Salle, essouffle de tout ses effort et le visage crispĂ©, par la douleur. Tant pis elle ferait avec. Elle n'avait jamais pris son petit-dĂ©jeuner dans la Grande Salle depuis qu'elle travaillait ici, cela lui faisait un peu bizarre, mais tant qu'il avait du bacon tout se passera mieux. Elle mangea aussi Ă  la hĂąte, sans parler Ă  personne, les yeux dans le vague. AprĂšs ce rapide dĂ©jeuner, elle quitta la salle pour monter tout en haut, avec une immense difficultĂ©. SaletĂ© de cheville !Tout en haut, elle fut un peu Ă©mue de revoir cette salle. L'ambiance y Ă©tait encore froide, les volets grand ouvert, aucune bougie, pas d'encens qui brĂ»lait. Il lui fallait encore tout prĂ©parer. Le mĂ©nage avait Ă©tĂ© fait le matin mĂȘme par les elfes de maison. Impecable, pas de poussiĂšre, au grand bonheur de PsychĂ©-la-Manique. Elle ouvrit en grand l'armoire qui se trouvait au fond de la piĂšce. Elle en sortit des bougies, de l'encens. La jeune professeur alluma un feu dans la grande cheminĂ©e avant d'aller fermer les lourds volets de bois. La piĂšce fut en instant plongĂ©e dans l'obscuritĂ© juste Ă©clairĂ©e par le feu de cheminĂ©e, qui brĂ»lait comme si il avait Ă©tait allumĂ© de plusieurs heures heures alors qu'il ne brĂ»lait seulement depuis cinq minutes. Elle leva les yeux au ciel. Parfait. Suite Ă  sa demande une reproduction exacte du ciel, la nuit, avait Ă©tĂ© installĂ©e. Les Ă©toiles, les constellation, les planĂštes.... Rien qu'en voyant ça, le coeur de PsychĂ© s'emballa mais elle ne s'y attarda pas, elle avait encore Ă  faire. Elle jeta un bref coup d'oeil Ă  sa montre en argent, plus que 30 minutes avant le dĂ©but du cours. Elle disposa les bougie un peu partout dans la salle qu'elle alluma d'un seul coup de baguette. Elle fit brĂ»ler par la mĂȘme occasion quelques bĂątons d'encens, l'odeur devint un peu entĂȘtante. La piĂšce Ă©tait maintenant baignĂ©e dans une douce lumiĂšre un peu instable." ACCIO LIVRES ! "De lourds volumes Ă  la couverture de cuirs volĂšrent directement dans ses frĂȘles bras. Trop frĂȘles bras pour cette dizaines de livres. PsychĂ© se hĂątta de les poser sur chaque des petites tables rondes. Elle replaça par la mĂȘme occasion les poufs avant de se diriger vers le tableau noir oĂč elle inscrivit en gros le thĂšme du cours soit " Chiromancie " . La sonnerie rĂ©sonna dans tout le chĂąteau, cette abominable sonnerie que PsychĂ© dĂ©testait tant. Venez, venez mes enfants.... Ella DespwalNombre de messages 229Age 41Maison PouffyMessage Perso Chieuse ascendant loufoqueAge du Perso 16Date d'inscription 27/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re -4Ăšme et 5Ăšme annĂ©e- Jeu 16 Nov 2006 - 1751 7h30, un rĂ©veil sonne... La jeune fille endormie dans le lit d'Ă  cĂŽtĂ© se rĂ©veille en sursaut... Les yeux endormis, elle regarde tout autours d'elle et cherche... Elle remarque enfin qu'il s'agit du rĂ©veil. Elle se frotte les yeux et tend la main vers cet objet de torture. Sa main se referme sur du vide... le rĂ©veil Ă©tait parti... IntriguĂ©e elle ouvre un oeil un pu mieux et regarde dans la direction du dit rĂ©veil et le voit a une quinzaine de centimĂštres de son emplacement habituel... La jeune poufsouffle tend une nouvelle fois la main vers le rĂ©veil mais celui-ci prend ses pattes a son cou et s'enfuit toujours en sonnant..."Rhaaaaaaaaa vient lĂ  saletĂ© !!!" dit-elle en se levant de son lit et en lui courrant aprĂšs. "Tu vas rester tranquille oui ???"Et la voilĂ  en train de courir aprĂšs son satanĂ© rĂ©veil qui n'arrĂ©tait pas de sonner. Elle avait une idĂ©e de qui pouvait avoir ensorcelĂ© cet objet si bruyant, lui permettant d'Ă©chapper Ă  quiconque voulant l'Ă©teindre, et par la mĂȘme, de sonner bien plus fort que d'habitude... Ella fulminait... Laquelle de ses soeurs avait eu le culot de faire ça... Probablement Yliah, c'Ă©tait bien son genre... Elle essaya une nouvelle fois de sauter dessus pour l'attrapper mais le manqua..."Rhaaa tu va voir Yliah... je suis sure que c'est elle" cria-t-elle presque Ă©nervĂ©e par la sonnerie incessante... Soit... Aux grands maux les grands moyens... Ella prit une batte de base-ball, qu'elle avait trouvĂ© il y aavait de ça des annĂ©es, lorsque le base-ball Ă©tait apparu dans leur brousse. Len,tement elle s'approcha du rĂ©veil et fit mine de l'attrapper. Celui-ci rĂ©agit exactement comme elle l'espĂ©rait... il tenta de s'enfuir. Elle profita de l'occasion pour taper dedans de toutes ses forces avec la batte... Le rĂ©veil valsa dans la piĂšce et alla s'Ă©craser contre le mur..."Et c'est un Home-run !!! " s'Ă©cria Ella en levant les bras en signe de ce n'Ă©tait pas tout, il Ă©tait temps d'aller en cours... Ella se prĂ©para en express et descendit prendre un petit dĂ©jeuner Ă©clair. Plusieurs Ă©lĂšves poufsouffle Ă©taient lĂ ... mais aucune de ses soeurs..."Rhaaa mais oĂč elles sont encore ?"L'heure avançait et c'Ă©tait Ă  prĂ©sent presque l'heure du cours de divination... Ce n'Ă©tait pas la matiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e d'Ella mais il fallait bien y aller. Elle monta alors quatre Ă  quatre les marches pour arriver devant la salle de Divination. La sonnerie retentit juste quand elle se trouvait devant la porte."Ah nooon pas encore une sonnerie..." maugrĂ©a-t-elle avant de rentrer...Evidemment aucune de ses soeurs n'Ă©taient lĂ , comme aucun autre Ă©lĂšve en fait... Elle Ă©tait la premiĂšre... ce qui Ă©tait devenu une sale habitude ces temps ci...**Rhaaa elles abusent... Elles pourraient venir au moins** s'avança dans la salle et s'adressa au professeur avec un beau sourire."Bonjour Madame ^^ Je suis Ella Despwal en quatriĂšme annĂ©e Ă  poufsouffle."Ella s'avança alors vers le fond de la salle, zigzagant au milieu des petites tables et des pouf. Elle zigzagait si bien qu'elle rĂ©ussit Ă  se prendre les pieds dans un pouf. Elle se cogna alors contre une table.."Aiiiiiiieuh !!! Rhaaa ca fait mal ca !!" cria-t-elle en se frottant la cuisse lĂ  oĂč la table avait alla s'assoire Ă  une table prĂšs de la fenetre, et profita que la prof ne regardait pas pour l'entrevrir... Elle pourrait comme ça respirer plus librement et avoir un petit air frais. Elle lu alors le tableau et vit un mot bizarre Ă©crit... Chiromancie... Qu'est-c'est que cte bĂšte ? Ca se mange ? Ella voulu Ă©crire sur son parchemin, mais s'apperçut qu'elle avait laissĂ© sa plume dans son sac... Elle prit son sac et sa plume Ă  l'intĂ©rieur. Au moment de le reposĂ©, son sac se renversa par terre."Oh meeeerde grrrr" s'Ă©cria-t-elle avant de rajouter "Oups excusez moi" Le Choixpeau MagiqueNombre de messages 200Date d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Compte fondateurFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re -4Ăšme et 5Ăšme annĂ©e- Mar 12 DĂ©c 2006 - 501 Les cours reprennent, veuillez continuer lĂ  oĂč vous en Ă©tiez Rien ne m'Ă©chappe rien ne m'arrĂȘteLe Choixpeau a toujours raisonMettez-moi donc sur votre tĂȘtePour connaĂźtre votre maison. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re -4Ăšme et 5Ăšme annĂ©e- -4Ăšme et 5Ăšme annĂ©e- Page 1 sur 1 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS COURS ET EXAMENSSauter vers
Retrouveztout le casting du film Il était une fois dans l'Ouest réalisé par Sergio Leone avec Henry Fonda, Charles Bronson, Frank Wolff AlloCiné Ex. : Dune , James Bond 25 , Cruella

CinĂ©ma PubliĂ© le 29/09/16 mis Ă  jour le 08/12/20 Partager A l’occasion de la rediffusion en salles du film de Sergio Leone en version restaurĂ©e, zoom sur la mythique premiĂšre scĂšne de ce western. Revoir une Ɠuvre de Sergio Leone au cinĂ©ma, c’est la meilleure façon d’apprĂ©cier sa mise en scĂšne opĂ©ratique la garantie de gros plans Ă©normes, son obsession du dĂ©tail quasi fĂ©tichiste et la prĂ©cision millimĂ©trĂ©e de ses chorĂ©graphies. Quarante-sept ans aprĂšs sa sortie, Il Ă©tait une fois dans l’Ouest, western plus lyrique, plus mĂ©taphysique que sa “trilogie du dollar” avec Clint Eastwood, fascine toujours autant. Le grand Ă©cran permet d’apprĂ©cier Ă  sa juste mesure l’un des nombreux morceaux de bravoure du film la cĂ©lĂšbre ouverture de quatorze minutes qui contient, comme un condensĂ©, toute l’Ɠuvre qui va suivre, et nous place d’emblĂ©e dans le feu de l’inaction. C’est un ballet funĂšbre qui ouvre ce western crĂ©pusculaire, oĂč l’arrivĂ©e du train et de la modernitĂ© sonne le glas des figures mythiques de l’Ouest. Les personnages Nous voici projetĂ©s dans une gare au milieu de nulle part, quelque part en Arizona - bien que la scĂšne a Ă©tĂ© tournĂ©e en Espagne, prĂšs de Cadix. Trois hommes de main – ceux de Frank, incarnĂ© par Henry Fonda, qui apparaĂźt dans la scĂšne suivante –, sĂ©questrent le chef de station, font fuir une femme et attendent de pied ferme Charles Harmonica » Bronson, qui doit arriver par le prochain train. Selon la lĂ©gende, Leone voulait que les trois gĂąchettes soient interprĂ©tĂ©es par Clint Eastwood, Lee Van Cleef et Eli Wallach, alias le Bon, la Brute et le Truand. Refus catĂ©gorique d’Eastwood. A leur place, il y a donc le charismatique Woody Strode Le Sergent noir de John Ford ; Jack Elam, superbe gueule » Ă  l’Ɠil dysfonctionnel, habituĂ© aux rĂŽles de brutes notamment chez Robert Aldrich ; et le plus mĂ©connu Al Mulock, vu dans Le Bon, la Brute et le Truand 1966, dans sa derniĂšre apparition au cinĂ©ma – il s’est dĂ©fenestrĂ© lors du tournage. La gĂ©nĂ©rositĂ© de Leone vis-Ă -vis des seconds rĂŽles et sa capacitĂ© Ă  les magnifier force, aujourd’hui encore, l’admiration. Chez lui, les sbires ne font pas de figuration ils ont droit, eux aussi, Ă  leurs gros plans. Comme le train est en retard, les trois tuent le temps. Strode se dĂ©bat avec une fuite d’eau, Elam avec une mouche et Mulock fait craquer ses phalanges. Le train arrive, Bronson en descend, Ă©change quelques mots avec eux et rĂšgle en vitesse l’affaire aux revolvers. Quelques secondes d’action seulement ce qui intĂ©resse Leone, c’est moins la violence que les rituels qui la prĂ©cĂ©dent. Le style de Leone Chez Leone, le temps est si dilatĂ© qu’il en devient irrĂ©el, suspendu, Ă  l’image de l’horloge inachevĂ©e de la ville en construction, montrĂ©e plus tard dans le film. Il est encensĂ© ou dĂ©testĂ© pour cela. A ce titre, Il Ă©tait une fois dans l’Ouest est son Ɠuvre la plus radicale. Le rĂ©alisateur trouvait les westerns hollywoodiens trop bavards, trop frĂ©nĂ©tiquement montĂ©s. Ici, le rythme lent, presque hypnotique, s’inspire des maĂźtres japonais Kurosawa et Ozu. Pour filmer la surprenante sĂ©quence oĂč la mouche embĂȘte Jack Elam la scĂšne a peut-ĂȘtre inspirĂ© un Ă©pisode fameux de Breaking Bad, de la confiture a Ă©tĂ© Ă©talĂ©e dans la barbe du comĂ©dien. L’ouverture d’Il Ă©tait une fois dans l’Ouest est caractĂ©ristique du style de Leone, poussĂ© ici Ă  son paroxysme. Soit une alternance de gros plans crades » et de plans larges Ă©piques », selon les mots de Christopher Frayling, auteur de Sergio Leone Something To Do With Death, qui commente le film dans l’une des Ă©ditions DVD. Les visages deviennent ainsi des paysages en mouvement voir Jack Elam qui grimace pour chasser la mouche sans les mains, les traits se font lignes de crĂȘtes et les pores de la peau, cratĂšres. Le format Techniscope, quasiment aussi large que le CinemaScope, permet de filmer un visage avec une grande profondeur de champ Ă  l’arriĂšre. La musique d'avant-garde Enfin, Leone ne serait pas tout Ă  fait Leone sans Ennio Morricone, son compositeur attitrĂ©. MarquĂ© par la musique d’avant-garde et les expĂ©rimentations de John Cage, il orchestre en ouverture une sorte d’opĂ©ra bruitiste, Ă  base de sons naturels amplifiĂ©s cliquetis d’un tĂ©lĂ©graphe, bourdonnement de la mouche, grincement d’un moulin. Bruits qui se dĂ©coupent sur un silence de mort et rendent la tension incroyablement palpable, tandis que le gĂ©nĂ©rique vient scander les noms des comĂ©diens. Selon Carlo Simi, le chef dĂ©corateur, un assistant aurait proposĂ© de graisser le moulin pour le rendre silencieux. N’y touche pas ou je t’étrangle ! », lui aurait rĂ©pondu Leone. Non-musique et non-action c’était, en 1968, d’une extraordinaire modernitĂ©. Il Ă©tait une fois dans l'Ouest, de Sergio Leone 1968, 2h55. En salles. western CinĂ©ma amĂ©ricain Sergio Leone Partager Contribuer Sur le mĂȘme thĂšme

Lasonnerie aller se faire entendre dans quelques secondes et Ashlee Naomie Smiths Ă©tait en train de rega. MÉFAITS ACCOMPLISℱ Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion : Le Deal du moment : Cartes PokĂ©mon : oĂč commander le coffret
SQ2 S2 Il Ă©tait une fois dans l'ouest Ennio MORRICONE ANALYSE LE DUEL Cette scĂšne de duel a imposĂ© un style, elle a profondĂ©ment marquĂ© le cinĂ©ma. Ce duel entre Franck Henry Fonda et l’Harmonica Charles Bronson est le pic dramatique de film. HARMONICA Morricone lui-mĂȘme dira plus tard qu’il s’est inspirĂ© du rĂąle d’un mourrant pour crĂ©er ce thĂšme musical, ce qui explique bien sa place, son importance et sa dimension mystique dans l’histoire. ThĂšme de l'harmonica Il est Ă  noter que la musique trouve un nouvel Ă©lan quand Franck enlĂšve et fait tomber sa veste. Ce nouvel Ă©lan est traduit par un rythme lĂ©gĂšrement accĂ©lĂ©rĂ©, et par l’apparition de tambours qui alourdissent l’ambiance. Ostinato rythmique en triolet La musique apporte des Ă©lĂ©ments nouveaux, des indices psychologiques qui nous font savoir les sentiments des protagonistes de l’histoire. GrĂące Ă  elle, on apprend que les personnages mĂȘlent Ă  la fois des sentiments comme la peur et le courage. Cette premiĂšre partie se finit par un rappel long et Ă©mouvant aux vieux souvenirs par les pleurs des violons, pour finir sur le souffle du vent. La guitare Ă©lectrique fait entendre son cri de mort dans cet espace oĂč rien ne pourra venir la dĂ©ranger. Les images deviennent de plus en plus fortes avec notamment ce travelling arriĂšre qui peint un paysage de mort oĂč tous les protagonistes semblent appartenir Ă  un tableau de maĂźtre. Les violons reprennent du service quand un panoramique bas/haut nous montre le frĂšre de l’Harmonica, et accentue les contours qui s’étaient dessinĂ©s sur le personnage de Franck.
cinemaPersomobiles.fr: Sonnerie CinĂ©ma 1492, Christophe Colomb pour votre mobile. TĂ©lĂ©chargement de la sonnerie CinĂ©ma sur votre portable immĂ©diat et garanti Accueil > Univers > Cinema > Sonnerie Il Ă©tait une fois dans l'ouest-L'homme Ă  l'harmonica. Il Ă©tait une fois dans l'ouest-L'homme Ă  l'harm. Sonnerie 1492, Christophe Colomb. Sonneries > Films Par le Ă  17h46, mis Ă  jour le Ă  17h46 Lecture 5 min. En deux salves, sept westerns italiens arrivent coup sur coup dans les rayonnages. Le meilleur et le pire
 T Et maintenant, on l'appelle El Magnifico Produit dans la mouvance des Trinita, un western comĂ©die qui n'est pas sans rappeler Le Pied Tendre, l'un des albums de Lucky Luke. Le Pied Tendre » en question Thomas More Terence Hill qui, laissant derriĂšre lui ses titres de noblesse et domaines, dĂ©barque dans un Far West aux mƓurs autrement plus archaĂŻques. Son pĂšre mort depuis peu, il hĂ©rite d'une terre fertile que trois cow-boys aussi mal embouchĂ©s que gĂ©nĂ©reux l'aident Ă  protĂ©ger contre un gros propriĂ©taire
 Et, Ă©videmment, l'aristocrate un peu brin dĂ©calĂ© il roule Ă  vĂ©lo, boxe dans les rĂšgles, lit Byron
 de s'adapter aux usages locaux tout en contant fleurette Ă  une belle autochtone. Un rien trop long il dure pratiquement deux heures, El Magnifico se montre nettement moins triviale que les Trinita. Si on y mange encore des faillots, les flatulences ne suivent pas. Deux ou trois belles bagarres de saloon, des seconds couteaux pittoresques et l'esquisse d'un pastiche des clichĂ©s sur fond de funĂ©railles du Vieil Ouest qui trouvera son apothĂ©ose avec Mon Nom est Personne dĂ©limitent un divertissement aimable. SpĂ©cialiste du western italien auquel il consacre un livre devenu une rĂ©fĂ©rence, Jean-François GirĂ© prĂ©sente El Magnifico avec une Ă©rudition qu'il applique Ă©galement Ă  la prĂ©face de La Mort Ă©tait au rendez-vous. T Et le vent apporta la violence
 Bien que ses prestations dans le western italien soient nombreuses, Klaus Kinski n'y a que trĂšs rarement tenu des rĂŽles principaux. Un des exemples qui confirment la rĂšgle Et le vent apporta la violence dans lequel il incarne un homme qui, ayant purgĂ© une longue peine, sort de prison pour goĂ»ter au plat froid de la vengeance. Dans sa ligne de mire le malfrat, dĂ©sormais un potentat local, responsable de l'avoir fait condamnĂ© Ă  sa place. Et, tandis qu'une tempĂȘte souffle sur la rĂ©gion, le vengeur de passer Ă  l'action selon des mĂ©thodes plus proches du film d'Ă©pouvante que du western classique. Un choix dont le mĂ©rite revient Ă  Antonio Margheriti, rĂ©alisateur transfuge du fantastique gothique dĂ©sireux de transcender les rĂšgles du genre par un traitement en rupture des habitudes. Galeries souterraines, dĂ©tails morbides, atmosphĂšre nocturne, clocher qui sonne le glas
 Vraiment, un film Ă  la lisiĂšre du fantastique. Non aussi prendre des airs de tragĂ©die antique le fils innocent solidaire des fautes de son pĂšre, une belle rĂ©ussite Ă  laquelle contribue Ă©videmment le magnĂ©tisme de Klaus Kinski . T La Mort Ă©tait au rendez-vous Si Giulio Petroni n'est que trĂšs rarement citĂ© parmi les grands artisans du genre, il Ă©lĂšve La Mort Ă©tait au rendez-vous Ă  un excellent niveau. Tandis que John Phillip-Law joue Ă  fond le mimĂ©tisme avec Clint Eastwood et le rĂ©alisateur le filme comme tel, Lee Van Cleef incarne Lee Van Cleef, constamment en majestĂ©, impassible dans le rĂŽle d'un bandit qui, aprĂšs quinze ans de bagne, entreprend de se venger des anciens complices qui l'ont abandonnĂ©, des notables dĂ©sormais. Les mĂȘmes que le premier recherche, assassins de ses parents
 MalgrĂ© un diffĂ©rend Ă  rĂ©gler, les deux pistoleros font front commun
 ScĂ©nario classique certes, mais bien menĂ© et, surtout, bien illustrĂ© dans un style dont la photographie accentue les caractĂ©ristiques plastiques et le goĂ»t du rĂ©alisateur pour le baroque. T Pour une poignĂ©e de nanars ParallĂšlement Ă  Et le vent apporta la violence, M6 VidĂ©o exploite quatre autres westerns italiens, du nul au mĂ©diocre. Le plus consternant du lot Au-delĂ  de la haine prĂ©sentĂ© dans une seule version italienne. Figurants et comĂ©diens ahuris, accessoires d'opĂ©rette, plans louĂ©s Ă  d'autres productions, mise en scĂšne indigente
 RĂ©cit des retrouvailles d'un frĂšre militaire et d'une sƓur dĂ©sormais squaw des annĂ©es aprĂšs que les indiens aient massacrĂ© leur famille, le film s'avĂšre risible du dĂ©but Ă  la fin. SignĂ©s du mĂȘme Rafael Romero Marchent, Un par un
 sans pitiĂ© et Deux Croix pour un implacable se hissent plusieurs crans au-dessus. Le premier Ă  illustrer une Ă©niĂšme histoire de vengeance parents tuĂ©s, sƓur captive
, le second Ă  courir aprĂšs un chargement d'or que convoite le supposĂ© fils d'un colonel nordiste accusĂ© de son vol
 Avec indulgence et un zeste de nostalgie pour les plus anciens, deux films tout de mĂȘme regardables ». Mieux ficelĂ©, par Nando Cicero futur pilier de la sexy comĂ©die italienne, Professionnels pour un massacre s'attache, dans le cadre de la Guerre de SĂ©cession, au cas de soldats sudistes qui, pour avoir dĂ©jĂ  dĂ©shonorĂ© l'uniforme qu'ils portent, reçoivent pour mission d'arracher aux nordistes un convoi d'or, ceci sous la supervision d'un officier Ă  la moralitĂ© guĂšre plus reluisante
 Quoi que nettement sous influence l'un des hĂ©ros prĂ©sente la mĂȘme coiffure de Clint Eastwood dans les Sergio Leone, un western spaghetti acceptable. Disons dans l'honnĂȘte moyenne des sous-produits qui, Ă  l'Ă©poque, se produisaient Ă  la chaĂźne. T El Magnifico et La Mort Ă©tait au rendez-vous actuellement disponibles en DVD chez Sidonis/Seven 7. T Et le vent, Professionnels, Deux Croix et Un par Un actuellement disponibles en DVD chez M6 VidĂ©o. Bourse Le 29/08 Ă  15H56 CAC 40 6222,42 -0,83% RevoirIl Ă©tait une fois dans l’ouest, sur grand Ă©cran qui plus est, c’est (tout comme le film de Kubrick) se trouver encore surpris par un film qu’on pensait pourtant connaĂźtre. Le considĂ©rer comme assez classique dans une pĂ©riode contestataire serait peut-ĂȘtre un raccourci trop facile. Il raconte certes un des grands mythes fondateurs, si ce n’est le grand mythe
Le deal Ă  ne pas rater -20% sur les retours clients / produits d’occasions Amazon Warehouse Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS COURS ET EXAMENS 2 participantsAuteurMessageMark JulInvitĂ©Sujet ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Ven 6 Oct 2006 - 1850 Le soleil venait Ă  peine de se lever lorsque le rĂ©veil Ă©mit une sonnerie stridente dans une maison en banlieue de Londres. Il Ă©tait Ă  peine sept heures mais pas question pour le jeune professeur de se prĂ©lasser dans son lit douillet. MĂȘme si la perspective de rester quelques heures de plus couchĂ© dans son lit auprĂšs de sa chĂ©rie, ne lui Ă©tait pas dĂ©testable, il avait d’autres obligations, d’ordre professionnel. Pour la deuxiĂšme annĂ©e consĂ©cutive, il imitait les jeunes sorciers. En effet, c’était aujourd’hui, le jour de la rentrĂ©e scolaire pour le professeur de potion, et il comptait bien faire bonne impression auprĂšs de ses Ă©lĂšves mais aussi auprĂšs de la direction de l’école. Bien qu’il ne soit pas ambitieux et que son poste actuel lui convienne parfaitement, il prenait toujours en considĂ©ration le regard des quelques secondes, il sauta de son lit. AprĂšs avoir embrassĂ© Valenna sur le front, il la laissa dormir et se dirigea dans la salle de bains. Chantonnant une musique moldue entendue quelques jours plus tĂŽt Ă  la radio, il ouvrit les robinets d’eau et entreprit de se prĂ©parer. Une bonne douche pour se rĂ©veiller, un coup de peigne pour effacer les traces de la nuit agitĂ©e qu’il avait passĂ©e, un brossage de dents rapide, un peu de dĂ©odorant et le voilĂ  fin prĂȘt Ă  affronter le stress des cours, l’humiditĂ© des cachots, la chaleur qui se dĂ©gagerait des chaudrons. Depuis son plus jeune Ăąge, Mark adorait cette matiĂšre. Lui qui Ă©tait gĂ©nĂ©ralement plus douĂ© dans la thĂ©orie, avait trouvĂ© dans cette matiĂšre l’assurance qui lui manquait en sortilĂšges ou en mĂ©tamorphose. Il se glissa Ă  pas de loup dans sa chambre afin de mettre une touche finale Ă  sa prĂ©paration. Il enfila un jean ainsi qu’une chemise blanche. Un look assez habituel pour ce jeune homme de 25 ans qui s’habillait toujours de la mĂȘme façon. Il arrangea au mieux possible le col de sa chemise et avec un sourire satisfait, se retourna vers le lit. Toujours endormie, Valenna semblait avoir un visage Ă©panoui et c’était rĂ©ciproque. Les deux jeunes Ă©taient heureux comme ne l’avait jamais Ă©tĂ© l’ancien Serdaigle. AprĂšs une rapide bisou et un petit je t’aime » glissĂ© dans un murmure, il attrapa son trousseau de clĂ© et parti en direction de minutes plus tard, Mark Jullien passa la grande porte. La veille, il avait assistĂ© Ă  la rĂ©partition et comme souvent les souvenirs l’avaient envahi. Mais aujourd’hui, il Ă©tait dans un tout autre Ă©tat d’esprit. Il aimait sentir l’agitation dans les couloirs, le stress des premiĂšres annĂ©es Ă  l’idĂ©e de se perdre, l’arrogance des plus ĂągĂ©s envers les plus jeunes. AprĂšs un rapide regard vers les sabliers encore vides, il se dirigea vers les cachots. Pas question de passer par la salle des profs. Son cours avec les quatriĂšmes et cinquiĂšmes annĂ©es commençait dans quelques minutes et il lui fallait vĂ©rifier si tout Ă©tait parfait dans sa salle de cours. Il salua quelques Ă©lĂšves et continua de marcher d’un pas rapide. Il sentait l’air frais lui parcourir les bras dĂ©nudĂ©s et il en trembla lĂ©gĂšrement. Comme dans ses souvenirs d’élĂšves, la salle Ă©tait Ă  la mĂȘme place. Avec son traditionnel chaudron en Ă©bullition dessus, la porte Ă©taient imposante et semblait ici depuis des annĂ©es. Son aspect vieux et en ruine ressortait. On avait presque l’impression qu’elle allait s’écrouler d’ici quelques jours. Mais il n’en Ă©tait rien. Depuis la fondation de Poudlard par Serpentard, Gryffondor, Serdaigle et Poufsouffle, elle Ă©tait lĂ , fidĂšle au poste et elle n’était pas prĂȘte de disparaĂźtre. Mark la poussa. Il remarqua que le faible grincement de celle-ci ne perturbait aucunement l’atmosphĂšre pesante et inquiĂ©tante des cachots, bien au contraire, cela augmentait le sentiment d’insĂ©curitĂ©. Le jeune professeur Ă©tait content de la disposition de la salle. Quelques jours avant l’arrivĂ©e des Ă©lĂšves, il avait fait un saut du cĂŽtĂ© du chĂąteau pour que tout soit en ordre. Il avait eu envie de rĂ©crĂ©er cette ambiance macabre qui avait disparu depuis plusieurs annĂ©es dans ce lieu. Il avait d’abord optĂ© pour de la lumiĂšre tamisĂ©e. Suffisamment forte pour que les Ă©lĂšves du fond puisse lire le tableau mais pas plus forte que le nĂ©cessaire. Le tableau Ă©tait encore plus noir que dans les autres salles de cours. Le jeune homme se dirigea vers celui-ci. Avec une craie blanche, il entreprit d’écrire, en lettres capitales, son nom et son prĂ©nom. Il s’éloigna un peu pour admirer puis s’installa Ă  son bureau. Tout fait de bois, comme la chaise, il posa son sac de cours dessus et s’installa attendant les Ă©lĂšves. Dans le reste de la salle, des chaudrons Ă©taient disposĂ©s de façon symĂ©trique et contre le mur, il y avait des bureaux et des chaises afin que les Ă©lĂšves puissent rĂ©diger leurs comptes rendus de potion. Le nombre maximum d’élĂšves par plan de travail Ă©tait de quatre et le jeune professeur s’assurerait que les groupes changeraient d’un cours Ă  l’autre. Disposition de la salle Rien Ă  dire, tout Ă©tait parfait. Il ne manquait plus que les Ă©lĂšves. La sonnerie lui parvint doucement aux oreilles, comme une douce mĂ©lodie. Il se laissa bercer par celle-ci en fermant les yeux, jusqu’à entendre les pas dĂ©cidĂ©s des Ă©lĂšves. Uns Ă  uns, il allait se prĂ©senter devant le jeune professeur qui attendait, une feuille sous les yeux qu’ils se prĂ©sente afin de noter les Ă©lĂšves prĂ©sents, qui devront obligatoirement rendre leur devoir. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 10 Oct 2006 - 011, Ă©ditĂ© 1 fois Yliah DeInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Sam 7 Oct 2006 - 1407 Yliah se leva de mauvaise humeur, son premier cours de potion allait commencer d'ici un peu moins d'une heure. Elle s'ahbilla avec sa robe de sorcier et sortit du dortoir des filles de Poufsouffle. Elle s'attendait Ă  voir ses soeurs en bas mais pas de chance aucune d'entre elle n'Ă©tait prĂ©sente. Elle Ă©mit un profond soupir, puis se dirigea vers la sortie. Une fois arrivĂ©e devant la grande salle, Yiliah s'installa seule Ă  un bout de table, mangeant tranquillement son petit dĂ©jeuner. Les autres Ă©lĂšves de sa maison, Yliah ne les aimait pas trop sauf un garçon se nommant "Jimmy", qu'elle esperait bien rencontrer un jour. Elle regarda la table des professeurs, apparemment le prof de potion devait dĂ©jĂ  se trouvait dans la salle. Yliah detestait les cours, rien que le fait de passer des heures entiĂšres enfermĂ©s entre 4 murs, la mit vraiment en dĂ©prime totale. Elle se frotta les mains, puis une fois qu'elle eut terminĂ©e, elle se leva de table et se dirigea vers la nombreux faisaient des allĂ©s et venus entre la grande salle et l'exterieur, elle esperait toujours voir l'une de ses soeurs mais sans suite, elles Ă©taient peut-ĂȘtre encore en train de dormir....Non impossible, le cours allait commencer d'ici quelques minutes et connaissant Toray, jamais elle louperait un cours comme sa. Elle marcha sans but en attendant la sonnerie puis se posa sur un petit muret. Elle regarda sans cesse les Ă©lĂšves, voulant un peu s'amuser d'un coup, elle vit une petite jeune fille, taches de rousseur et avec un appareil dentaire, Yliah se met Ă  sourire ironiquement puis se dĂ©pĂȘche d'aller la excuse moi....C'est bien un appareil dentaire que tu es lĂ ? Non car d'aprĂšs quelques statistiques sa.......comment dire.....fait fuir les garçons donc si tu pouvais partir d'ici..Yliah Ă©mit un rire puis retourna sur son muret assez fiĂšre d'elle. D'un coup la sonnerie retentit, Yliah se dirigea vers les cachots ou le professeur...euh..Mark Jullien enseignait la Potion. D'aprĂšs ces souvenirs,c e professeur avait l'air assez charmant d'ailleurs, c'est l'un des seuls qu'Yliah estimait le plus mais juste par sa beautĂ© et non pas pour sa pratique de donnĂ©s les cours. Lorsqu'elle arriva devant la salle de classe, elle vit Ă  l'interieur que personne n'Ă©tait encore entrĂ©, elle fit la moue pensant faire la premiĂšre de la classe en rentrant la premiĂšre. Elle aurait aimĂ© qu'une Ă©lĂšve rentre en premier mais personne n'avait l'air de se diriger vers cette salle. Tant pis...Yliah entra dans la salle, la tĂȘte un peu basse, s'empechant d'Ă©clater de rire et dit Bonjour Monsieur.......Elle s'avança vers le fond de la salle oĂč elle posa ses livres sur la table regardant de partout sauf en direction du prof. Elle priait pour qu'un Ă©lĂšve arrive avant ces soeurs, afin qu'elles ne puissent pas la traiter de lĂšches bottes. Nigel Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Dim 8 Oct 2006 - 357 ElzykorLa journĂ©e avait pourtant bien commencĂ©e. Elz avait rejoint sa petite soeur dans la grande salle, mais elles avaient du se rĂ©parer le temps du petit dĂ©jeuner, car chacun devait ĂȘtre Ă  sa table. DĂ©jĂ  Kilah Ă©tait entourĂ©e de nombreuses personnes, ce qui n'Ă©tonnait pas du tout la serpentard. Sa soeur n'aurait pu aller ailleurs qu'Ă  Gryffondor, c'Ă©tait d'une Ă©vidence presque machiavĂ©lique. AprĂšs le repas, elle avait rejoint sa soeur. Les Gryffondor lui avaient jetĂ© un regard Ă©trange. Elle leur avait sourit, un bref sourire. Kilah, ravie, l'avait suivi en jacassant joyeusement. Elz avait reconduit sa petite soeur Ă  son cours, puis elle Ă©tait redescendue dans les sous-sols, pour aller en potion. C'Ă©tait franchement pas son cours prĂ©fĂ©rĂ©, mais quand mĂȘme, c'Ă©tait pas si mal. T puis, c'Ă©tait l'ex prof d'arithmancie qui donnait le cours de potion cette annĂ©e. Ce serait peut-ĂȘtre mieux. Fallait ĂȘtre calculateur pour enseigner l'Arithmancie... ce serait peut-ĂȘtre mieux la potion ainsi. Elle entre dans le cachot et grimace. Elle est la premiĂšre. Enfin, non, y a le professeur et une Poufsouffle... berk... oh, Elz n'avait rien contre les Poufsouffle. Comme tous les autres Ă©lĂšves, ils lui servaient de bouc Ă©missaire en temps et lieux et elle s'en moquait Ă©perdument tant qu'ils ne se mettaient pas dans son chemin. Ils Ă©taient que des pions dans on grand projet. Mais cette Poufsouffle, en particulier Ă©tait trĂšs dĂ©sagrĂ©able. Comme toutes ses soeurs. Un paquet de jumelles toutes aussi hystĂ©riques les unes des autres. - B'jour m'sieur Julien. Elz Folayann, ton est poli, mais elle n'aime pas faire dans les fioritures, sauf lorsque c'est tout Ă  fait nĂ©cessaire. Elle prend bien soin d'aller s'installer le plus loin possible de la Despwal. Yliah DeInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Dim 8 Oct 2006 - 418 Yliah, qui se remuait les doigts, avait hate de voir entrer ses soeurs dans la salle de cours. Elle Ă©tait dĂ©serte, seul le professeur et Yliah, en personne s'y trouvait. Elle regarda Ă  l'exterieuroĂč le soleil venait Ă  peine de se lever au milieu des nuage d'une couleur blanchĂątre. D'un coup son regard se vira vers la porte d'entrĂ©e, une Ă©lĂšve entra dans la salle, Yliah la dĂ©visagea rapidement, elle portait une robe de Serpentard. Yliah n'avait rien contraignant contre les Serpentards mais elle les trouvait assez stupides et pas malins du tout. La jeune fille s'installa Ă  l'autre bout de la salle,seule sans amis. Yliah Ă©mit un sourire ironique en sa direction, en la regardant, on aurait dit qu'elle se montrait au dessus de tout les autres de ses camarades. Toujours le regard fixĂ© en sa direction, Yliah ne savait pas quoi dire, ni quoi faire. Ce fut dans un moment d'agitation que Yliah se leva, sans gĂȘne devant le professeur et se dirigea vers la Serpy en question. Elle posa ses mains sur la table de celle-ci et la regarda droit dans les tu cherches Ă  m'Ă©viter? Je ne mange personne, du moins pas des filles.......de ton allure!!! Moi c'est Yliah Despwal, la derniĂšre des soeurs jumelle, et ouai, j'ai pas eu de chance!!Elle sortit Ă  ce moment lĂ , un chewing gum de sa poche, au gout de menthe, puis le mit dans sa bouche. Elle macha comme l'on dirait.."comme une vache", la bouche grande ouverte, apercevant le claquage des dents. Elle regarda en direction du professeur, qui n'avait rien vu heureusement puis s'installa sur une chaise tout prĂšs de la Serpy, voulant engager une conversation. Yliah le voulait certe maintenant, la serpentard le souhaitait-il, sa c'Ă©tait attendant que sa camarade lui rĂ©ponde, Yliah ne cessa de regarder en direction de la porte, si elle apercevait, par malheur, un pouffy et qu'il la voyait en pleine discussion avec un Serpy, on en entendrait parler toute la nuit dans le dortoir, mais bon Yliah s'en foutait, on pouvait raconter des choses sur elle, ce qu'elle faisait, elle le savait. Baya BarInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Dim 8 Oct 2006 - 1756 Le souffle d'un vent violent vint aux carreaux de la chambre qu'elle partageait avec ses colocataires, et fit claquer la fenĂȘtre qui Ă©tait ouverte. L'hiver s'annonçait Ă  grand pas, songea Baya. Aimant cette saison particuliĂšrement Ă  cause de son allure sauvage et des paysages qu'elle offrait, la jeune Poufsouffle n'aimait pourtant pas le froid et l'inconfort qu'apportait l'hiver. Elle soupira, et reporta son attention sur son livre. Sa tĂȘte Ă©tait confortablement calĂ©e sur son oreiller, et elle Ă©tait Ă©tendue de tout son long, inerte, sur son lit mouelleux. Jettant de temps un regard nĂ©gligeant sur son rĂ©veil Ă©lectronique un petit objet moldue que lui avait offert une de ses amies pour ses 8 ans, Baya redoutait cependant la reprise des cours, qui allait sans doute avoir lieu dans quelques minutes...Qu'allait-elle avoir comme cours, dĂ©jĂ ?! Ah oui..Potion, une matiĂšre que la jeune fille avait en grippe, et, comme si cela ne suffisait pas, elle ne connaissait plus personne, sa meilleur amie Ă©tant partie l'annĂ©e passĂ©e. Lorsqu'elle regarda une nouvelle fois le rĂ©veil, 5 minutes plus tard, l'heure avait tournĂ©e, et cette fois, Baya Ă©tait en retard. Elle se redressa, et sortit en trombe de la chambre, son sac sur l'Ă©paule. Descendant les marches deux par deux, et parvenant enfin Ă  la salle commune des Poufsouffle, une grande piĂšce aux allures chaleureures et baignĂ©s de lumiĂšre grĂące aux torches sur les mures, qui ne se trouvait que trĂšs prĂšs des cachots...Ils Ă©taient pourtant assez prĂšs de la salle commune, mais le chemin que parcourut Baya sembla durer des heures. Un fois arrivĂ©e devant la porte, elle hĂ©sita un instant...Elle Ă©tait assez en retard, mais pas assez pour ĂȘtre refusĂ©e en cours. Se hasardant Ă  frapper trois coups Ă  la porte, elle ouvrit celle-ci une fraction de secondes plus tard, lorsqu'un "entrer" lui donna le signal. La piĂšce Ă©tait vaste, et peu Ă©clairĂ©e. En passant devant le bureau du professeur, Baya regarda le jeune homme qui allait lui faire cours et lui dit d'une voix clair et forte - "Baya Barton, 5° annĂ©e, Poufsouffle!"De grandes tables traçait des rangĂ©es distinctes, et Baya s'assit Ă  l'une d'elle, Ă  cĂŽtĂ© d'une fille au cheveux de couleur bleu, que la jeune fille connaissait de nom. Une...Despwall? Oui, Baya en Ă©tait sĂ»r Ă  prĂ©sent. L'autre fille, elle ne la connaissait pas. Se mordillant la lĂšvre infĂ©rieur, elle sortit ses livres et ingrĂ©dients achetĂ©s sur le chemin de Traverse, ainsi que son chaudron, puis attendit, le regard rivĂ©e sur la porte. ZorehiraInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Dim 8 Oct 2006 - 1811 La rentrĂ©e se faisait d'une Ă©trange maniĂšre cette annĂ©e. D'abord cet attentat au MinistĂšre avait tout chamboulĂ© la rentrĂ©e, on ne parlait plus que de cela. Bon, c'Ă©tait normal d'en parler, puisque c'Ă©tait d'un tragique inĂ©galĂ©. Du moins pour ce qu'elle en savait. La douce Uriana avance dans les couloirs, son matĂ©riel serrĂ© contre elle, les yeux sur le sol. Une nouvelle annĂ©e dĂ©bute. Mais contrairement aux autres annĂ©es ou elle avait de plus en plus une impression de routine, cette annĂ©e serait bien diffĂ©rente... malheureusement pour elle. Elle n'avait toujours pas rĂ©ussit Ă  lancer un seul sort. Ça devenait inquiĂ©tant. Sa mĂšre, guĂ©risseuse Ă  Ste-Mangouste, lui avait fait passer une batterie de tests magique durant tout l'Ă©tĂ©. Elle Ă©tait mĂȘme passĂ©e sous l'oeil expert de plusieurs de ses collĂšgues. Ça avait Ă©tĂ© un terrible Ă©tĂ© quoi... tant de regards sur elle, tant d'attention quelle ne mĂ©ritait pas... de quoi la rendre folle. Au moins, Ă  l'Ă©cole, elle n'aurait plus tous ces testes Ă  passer... mais ça ne s'annonçait pas mieux... elle n'arrivait mĂȘme plus Ă  jeter un sort de base... comment ferait elle pour passer l'annĂ©e ? Et puis, c'Ă©tait les BUSE... et en plus, elle avait Ă©tĂ© nommĂ©e prĂ©fet de Poufsouffle... rien pour passer inaperçue, hein... ça allait ĂȘtre une affreuse annĂ©e, elle le sentait... Elle entre d'un pas morose dans le cachot. Ah oui, c'Ă©tait l'ancien professeur d'Arithmancie qui donnait le cours de potion cette annĂ©e. Au moins, elle pouvait se consoler, le cours de potion ne requĂ©rait pas de baguette magique... si elle se concentrait sur les cours oĂč elle n'avait que peu besoin de sa baguette, peut-ĂȘtre aurait-elle de notes potable en fin d'annĂ©e... habituĂ©e Ă  des E et des A depuis sa premiĂšre annĂ©e, elle avait essuyĂ©e un P en DCFM l'an dernier... et aussi en SortilĂšges... c'Ă©tait terrible pour elle... - Uriana Xanthe Sitachenko, monsieur Julien, cinquiĂšme annĂ©e, Poufsouffle...Sans attendre, elle se glisse derriĂšre un chaudron, avec un faible sourire. Elle voit Baya Barton, une Poufsouffle de mĂȘme annĂ©e qu'elle. Du coin de l'oeil, elle observe une de ses camarades de maison, une annĂ©e plus jeune qu'elle. Elle Ă©tait visiblement en train de provoquer une Serpentard de quatriĂšme annĂ©e. Oh, elle connaissait le spĂ©cimen turquoise pour en croiser le reste de l'arc-en-ciel tous les jours dans la salle commune. Elles Ă©taient d'exubĂ©rantes filles, mais pas mĂ©chantes. Malicieuses et souvent agaçantes, mais elle n'Ă©tait pas mĂ©chantes. Elle espĂ©rait de tout coeur ne pas avoir Ă  intervenir. Ne manquerait plus que de devoir imposer une autoritĂ© qu'elle ne possĂ©dait pas. Oui, cette annĂ©e serait terrible, horrible... Yannis MInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Lun 9 Oct 2006 - 1505 La fin des vacances, le voyage dans le Poudlard express, la rĂ©partition Ă©tait maintenant une habitude pour Yannis McBride. Les autres annĂ©es, il se contentait de regretter de ne pas pouvoir ĂȘtre avec ses sƓurs, d’espĂ©rer que son frĂšre changerait et d’avoir des nouvelles rĂ©guliĂšrement de ses parents, trop absorbĂ©s pour lui Ă©crire quelques mots. Mais cette annĂ©e avait Ă©tĂ© bien diffĂ©rente et l’absence de la routine plaisait Ă  ce jeune homme blond d’une quinzaine d’annĂ©es. Pendant le voyage en compagnie de Nathalie, ils n’avaient cessĂ©s d’évoquer les nombreuses balades dans les rues de Londres. La jeune Gryffondor n’avait pas arrĂȘter de le remercier et Ă  voir les larmes d’EmmaĂ«lle et de SalomĂ© lors de leur dĂ©part, il se sentait fier d’avoir apportĂ© de la joie dans la vie de la jeune fille. C’est aussi un peu Ă  contre cƓur qu’il l’avait regardĂ© s’éloigner vers la table de sa maison. Il aurait tellement aimĂ© prolonger ce moment ensemble. Le jeune Serdaigle s’était visiblement habituĂ© Ă  la prĂ©sence de la prĂ©fĂšte, compagnie qu’il avait trouvĂ© fort agrĂ©able. A sa table, il avait retrouvĂ© quelques uns de ses amis et beaucoup l’avaient fĂ©liciter en dĂ©couvrant sa nouvelle insigne. Il Ă©tait honorĂ© qu’on lui ait offert cette chance et il prenait son rĂŽle trĂšs au sĂ©rieux. Il connaissait un peu son homologue fĂ©minin. ChloĂ© Wilde avait un an de plus que lui mais elle avait les mĂȘmes ambitions, faire de leur maison, la meilleure de l’annĂ©e. C’est donc la tĂȘte pleine de souvenirs que le jeune homme sortit de la salle de bains. Il s’était levĂ© de bonne heure afin de pouvoir se prĂ©parer tranquillement et de pouvoir prendre un bon petit dĂ©jeuner avant le premier cours de l’annĂ©e. Potion. Ce n’était pas forcĂ©ment une de ses matiĂšres prĂ©fĂ©rĂ©s mais en deux ans, il avait considĂ©rablement progresser. Il espĂ©rait pouvoir continuer cette annĂ©e avec leur nouveau professeur. Il avait entendu dire que c’est le professeur d’arithmancie qui avait repris cette matiĂšre. Yannis Ă©tait plutĂŽt content. Mark Jullien Ă©tait quelqu’un de compĂ©tent, qui savait de quoi il parlait et qui arrivait toujours a rendre les cours vivants. EspĂ©rons que ce soit la mĂȘme chose dans cette matiĂšre. Le jeune prĂ©fet sortit de son dortoirs, laissant ses amis Ă©mergĂ©s progressivement. Le soir dernier, ils Ă©taient restĂ©s tard, Ă  Ă©voquer leurs souvenirs de vacances et maintenant ils avaient du mal Ă  sortir des bras de MorphĂ©e. Yannis les salua avant de descendre dans la salle commune, sac Ă  dos sur l’épaule et tenant une affichette dans la main droite. Rien n’avait changĂ© depuis l’annĂ©e derniĂšre. Les vieux fauteuils sur lequel il aimait traĂźner au coin du feu, les tableaux de personnalitĂ©s cĂ©lĂšbres Ă©tant passĂ©s dans cette maison. Le panneau d’affichage tenait une place importante dans la piĂšce et c’est vers celui ci que le jeune homme se dirigea. Il remarqua que la directrice de sa maison, Riku Harada, avait marquĂ© le nom des nouveaux prĂ©fets de l’annĂ©e. Il se sentait fier et il ferait tout son possible pour venir en aide au nouveau et faire en sorte que tous les Ă©lĂšves vivent en harmonie. Il faut dire que ce rĂŽle lui convenait bien, lui qui adorait aidĂ© les gens qui l’entourait Ă©tait servis. Il accrocha son affichette pour se prĂ©senter, qu’il avait fait avec ChloĂ©. Il espĂ©rait ainsi attirer l’attention des Serdaigles. Satisfait, il sortit enfin de la salle commune. GĂ©nĂ©ralement, les membres de la maison de Rowena Ă©taient plutĂŽt des lĂšves tĂŽt et en arrivant dans la Grande Salle, il constata que rien n’avait changĂ© cette annĂ©e. La table la plus remplie Ă©tait la sienne et il trouva difficilement une place coincĂ© entre deux premiĂšres annĂ©es. Il tourna les yeux vers la table des serpentards espĂ©rant trouver le regard d’Andrea mais apparemment, il n’était toujours pas lĂ .* Il va tout de mĂȘme pas commencer Ă  sĂ©cher *MĂȘme si l’entente n’était pas au beau fixe entre les deux jeunes, cela n’empĂȘchait pas l’aĂźnĂ© de s’inquiĂ©tait pour son frĂšre et de chercher un moyen de lui faire comprendre l’importance des Ă©tudes. Il avala tranquillement un croissant, une tartine et un grand bol de chocolat chaud. Il sortit en mĂȘme temps son livre de potion. Il connaissait le thĂšme du premier cours de l’annĂ©e Ă©tant passĂ© la veille vers la salle de potion. Il voulait en savoir un peu plus sur les ingrĂ©dients et sur ses effets afin de s’affirmer. A prĂ©sent qu’il Ă©tait prĂ©fet, il se devait de montrer le bon exemple notamment en Ă©tant attentif aux cours. Il fit un signe de la main Ă  Nathalie puis se dirigea d’un pas convaincu vers les cachots. Il n’était pas le premier mais il s’en fichait. Tant qu’il n’était pas en retard, tout allait bien. Il se dirigea vers le bureau du professeur. Bien que Monsieur Jullien devait le connaĂźtre pour l’avoir eu l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente en cours, il prĂ©fĂ©ra se prĂ©senter. Bonjour Monsieur. Yannis McBride, Serdaigle. »Il lui sourit, ne cherchant manifestement pas Ă  cacher sa joie de reprendre les cours. Il regarda la disposition de la salle. DĂ©jĂ  trois filles Ă©taient assises ensemble. L’une des sƓurs Despwal, laquelle, il n’aurait su le dire n’ayant jamais discutĂ© avec elles, une serpentarde et une autre poufsouffle avaient pris place prĂšs d’un chaudron. Ne dĂ©sirant pas ĂȘtre seul, Yannis se dirigea vers Uriana. C’était la prĂ©fĂšte de poufsouffle. Il ne la connaissait pas mais elle avait l’air sympathique. Excuse moi, je peux m’asseoir ? »Il attendit debout, une rĂ©ponse quelconque de la jeune fille Yliah DeInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Lun 9 Oct 2006 - 1535 Toujours assise auprĂšs de la serpentarde, Yliah vit la porte s'ouvrir, une lueur d'espoir se parcourait son corp, mais elle fut dĂ©truite quelques secondes plus tard, en voiyant une Ă©lĂšve de sa maison Miss Barton, une fille avec qui Yliah n'avait jamais discuter. Yliah ne la connaissait pas vraiment, du moins, elle n'avait jamais eu l'occasion de parler avec elle, elle la regarda, se moquant un peu d'elle interieurement. *DĂ©cidemment je me demande ce que je fous dans cette maison!!*Elle se releva, apparemment, la serpentarde ne voulait pas lui rĂ©pondre, surement par la peur, elle se dirigea vers sa table en passant par celle de Baya. Cette fille Ă©tait belle certe mais en la voyant au premier regard comme sa, elle n'avait rien de fiable. D'un coup la porte se rĂ©ouvrit, Yliah vira de suite son regard vers celle-ci et aperçut cette fois-ci que la PrĂ©fĂȘte de Poufsouffle fit son entrĂ©e dans la salle. Idem, Yliah ne la connaissait pas trop, elle a du la croiser 2 ou 3 fois sans plus. Une petite jeune fille aux cheveux long et blonds..enfin..petite..elle est plus grande qu'Yliah mais de taille Yliah la dĂ©passait un peu. Elle voulait aller la voir en essayant de parler un peu avec elle et de la connaitre davantage mais quelque chose la bloquait en elle, Yliah n'Ă©tait pas trop du genre Ă  allait vers les regagna sa place et se rabattit sur sa table. La fatigue commençait Ă  peser sur elle mais elle savait ĂȘtre robuste. De nombreux Ă©lĂšves manquaient dans cette salle, surtout ces soeurs, qu'Yliah attendaient avec impatience. D'un coup la porte se rĂ©ouvrit, elle releva vivement la tĂȘte et constata avec desarroie qu'un Serdaigle entra dans la salle. Elle le dĂ©visagea rapidement, erf...un petit intello encore une fois, certainement. Elle essaya d'attirer son regard afin de pouvoir un peu se moquer de lui, puis elle remarqua que ce jeune homme se diriger vers la PrĂ©fĂȘte de Poufsouffle. Yliah Ă©mit un petit rire discret en voyant cette scĂšne. Si ces soeurs Ă©taient lĂ  pour voir sa, je vous dis ce que sa aurait donnĂ©. Elle releva la tĂȘte et decida d'embĂ©ter le petit bien..Et bien, que vois-je, va directement Ă  la demande de mariage mon beau garçon, tu n'as rien Ă  y perdre de toute maniĂšre!! Elle le regarda avec un sourire des plus ironique, puis tourna la tĂȘte vers la PrĂ©fĂȘte, qui semblait ĂȘtre une fille assez coincĂ©s et discrĂšte. Rien qu'en la regardant, Yliah avait un peu pitiĂ© d'elle. Elle lui marmonna, machant son chewing gum, la prof n'avait pas l'air de les sa proposition, vous devez surement bien aller ensemble!! Faut se dĂ©coincer c'est tout!! Mark JulInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Mer 11 Oct 2006 - 1357 Quelques secondes Ă  peine aprĂšs la sonnerie, les bruits de pas se faisaient entendre dans le couloir. Le jeune professeur avait volontairement laissĂ© la porte entrouverte afin de les entendre arrivĂ© et d’ĂȘtre prĂȘt Ă  les recevoir. Il connaissait quelques Ă©lĂšves ceux de son option d’arithmancie l’annĂ©e derniĂšre, ceux dont il avait entendu parler et ceux qu’il avait croisĂ©s dans les couloirs Ă  mainte reprises. La premiĂšre Ă  entrer fut une Poufsouffle. Il la reconnu au premier coup d’Ɠil. Il s’agissait forcement d’une des sƓurs Despwal. Il ne les avait jamais eu en cours mais il en avait entendu parler rĂ©guliĂšrement. Il ne pu s’empĂȘcher de voir sa mine renfrognĂ©e. Elle ne devait pas ĂȘtre passionnĂ© par les cours et arrivĂ© en premier n’était pas forcĂ©ment agrĂ©able. Il ne pu s’empĂȘcher de sourire et avant qu’elle ne reparte s’asseoir, il lui demanda Pourrais-je avoir votre nom Mademoiselle SVP »Consciencieusement, il nota le nom et la maison de l’élĂšve avant de voir la porte se rouvrir. Ce fut le tour d’une Serpentarde. Avant, Mark trouvait les gens de cette maison sans intĂ©rĂȘt et les dĂ©nigrait mĂȘme souvent mais depuis peu, il se disait que l’habit ne faisait pas le moine et que mĂȘme les Ă©lĂšves de cette maison pouvaient ĂȘtre attentifs et rĂ©ussir. Il en arrivait mĂȘme Ă  se demander si dans le contexte actuel, il ne valait pas mieux se tourner vers la magie noire pour avoir une chance de rĂ©ussir. Cette idĂ©e demandait rĂ©flexion mais il n’avait pas le temps pour l’instant. Il salua Elzykor et nota son nom Ă  la suite de celui de deux Poufsouffle dont l’une Ă©tait prĂ©fĂšte, comme le montrait son insigne. Il nota leur nom et leur fit signe de prendre place auprĂšs d’un chaudron. Le jeune professeur remarqua que les filles Ă©taient plus studieuses que les garçons et surtout avaient l’air plus motivĂ©s pour les cours. Il vit le prĂ©fet de Serdaigle entrĂ© juste aprĂšs Uriana. Il lui sourit amicalement. Mark avait dĂ©jĂ  eu le jeune garçon en cours d’arithmancie et il le trouvait toujours attentif. Il espĂ©rait qu’il en serait de mĂȘme dans cette matiĂšre. Le regard entre les deux hommes montraient beaucoup de respect l’un envers l’autre et le professeur Ă©couta distraitement le nom qu’il connaissait bien maintenant. Il regarda sa montre. DĂ©jĂ  cinq minutes que la cloche avait sonnĂ©. La salle semblait bien pleine et il pensait que tous Ă©taient arrivĂ©s. Il se leva pour fermer la porte, jetant un coup d’Ɠil dans les couloirs. A peine avait –il fait face Ă  la classe qu’il remarqua qu’Yliah faisait encore des siennes. Il ne tolĂšrerait pas ce genre de remarque et prĂ©fĂ©rait qu’elle reste tranquillement assise Ă  sa place se concentrant sur le cours plutĂŽt que sur les relations des autres Ă©lĂšves. Il s’approcha d’elle, toussota pour attirer son attention et lui dit Je ne pense pas que la vie privĂ©e de Yannis et Uriana ne soit si passionnante que cela et intĂ©resse le reste de la classe. Je vous demanderais donc de vous retourner et de vous concentrer sur le cours plutĂŽt que sur des choses mineures. »Mark la gratifia d’un petit sourire ironique et retourna prĂšs de son bureau. Il mit de cĂŽtĂ© le parchemin avec les noms des Ă©lĂšves et commença le cours par un petit discours de prĂ©sentation. Comme vous pouvez le constater, je m’appelle Mark Jullien. Ancien professeur d’arithmancie, c’est moi qui vais vous enseigner l’art des potions et faire en sorte que vous soyez bien prĂ©parĂ© pour les BUSES. Je demanderais pendant le cours de la concentration, de l’attention et je ne veux pas entendre des bavardages intempestifs. Cela Ă©tant fait, je vous demande, pour vous, ce que signifie le terme de potion et ce que vous attendez du cours, ce qu’il peut vous apportez dans votre avenir. »Il s’assied sur son bureau attendant de voir des mains se lever. Ella DespwalNombre de messages 229Age 41Maison PouffyMessage Perso Chieuse ascendant loufoqueAge du Perso 16Date d'inscription 27/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Mer 11 Oct 2006 - 1545 7h30, un rĂ©veil sonne... La jeune fille endormie dans le lit d'Ă  cĂŽtĂ© se rĂ©veille en sursaut... Les yeux endormis, elle regarde tout autours d'elle et cherche... Elle remarque enfin qu'il s'agit du rĂ©veil. Elle se frotte les yeux et tend la main vers cet objet de torture. Sa main se referme sur du vide... le rĂ©veil Ă©tait parti... IntriguĂ©e elle ouvre un oeil un pu mieux et regarde dans la direction du dit rĂ©veil et le voit a une quinzaine de centimĂštres de son emplacement habituel... La jeune poufsouffle tend une nouvelle fois la main vers le rĂ©veil mais celui-ci prend ses pattes a son cou et s'enfuit toujours en sonnant..."Rhaaaaaaaaa vient lĂ  saletĂ© !!!" dit-elle en se levant de son lit et en lui courrant aprĂšs. "Tu vas rester tranquille oui ???"Et la voilĂ  en train de courir aprĂšs son satanĂ© rĂ©veil qui n'arrĂ©tait pas de sonner. Elle avait une idĂ©e de qui pouvait avoir ensorcelĂ© cet objet si bruyant, lui permettant d'Ă©chapper Ă  quiconque voulant l'Ă©teindre, et par la mĂȘme, de sonner bien plus fort que d'habitude... Ella fulminait... Laquelle de ses soeurs avait eu le culot de faire ça... Probablement Yliah, c'Ă©tait bien son genre... Elle essaya une nouvelle fois de sauter dessus pour l'attrapper mais le manqua..."Rhaaa tu va voir Yliah... je suis sure que c'est elle" cria-t-elle presque Ă©nervĂ©e par la sonnerie incessante... Soit... Aux grands maux les grands moyens... Ella prit une batte de base-ball, qu'elle avait trouvĂ© il y aavait de ça des annĂ©es, lorsque le base-ball Ă©tait apparu dans leur brousse. Len,tement elle s'approcha du rĂ©veil et fit mine de l'attrapper. Celui-ci rĂ©agit exactement comme elle l'espĂ©rait... il tenta de s'enfuir. Elle profita de l'occasion pour taper dedans de toutes ses forces avec la batte... Le rĂ©veil valsa dans la piĂšce et alla s'Ă©craser contre le mur..."Et c'est un Home-run !!! " s'Ă©cria Ella en levant les bras en signe de ce n'Ă©tait pas tout, il Ă©tait temps d'aller en cours... Ella se prĂ©para en express et descendit prendre un petit dĂ©jeuner Ă©clair. Elle arriva ensuite devant la salle des potions alors que la sonnerie venait de retentir..."Ah nooon pas encore une sonnerie..." maugrĂ©a-t-elle avant de rentrer...Sa soeur Ă©tait dĂ©ja lĂ , Yliah la miss turquoise, la leche-botte qui devait ĂȘtre arrivĂ©e la premiĂšre sans-doute. Il y avait Ă©galement quelques poufsouffle dont la prĂ©fĂšte, un serdaigle et une serpentard. Yliah Ă©tait dĂ©ja en train de foutre le dawa et d'embĂ©ter les autres...**Rhaaa elle abuse** s'avança dans la salle et s'adressa au professeur avec un beau sourire."Bonjour Monsieur ^^ Je suis Ella Despwal en quatriĂšme annĂ©e Ă  poufsouffle, comme la miss turquoise lĂ -bas."Elle s'avança vers le fod de la salle en fixant mĂ©chamment sa soeur, Ă©tant sĂ»re que c'Ă©tait elle qui avait trafiquĂ© son rĂ©veil. En passant elle se cogna contre une table."Aiiiiiiieuh !!! Rhaaa ca fait mal ca !!" cria-t-elle en se frottant la cuisse lĂ  oĂč le coin de la table avait alla s'assoir deux tables derriĂšre sa soeur et sortit ses affaires pendant que le prof fermait la porte. Yliah eu dĂ©ja droit Ă  une rĂ©flexion, le cours n'Ă©tait mĂȘme pas commencĂ©... Et Ella s'Ă©tait elle aussi fait remarquĂ©e mais pas pour la mĂȘme raison. Le professeur Ă©tait parti se rassoir Ă  son bureau et prĂ©senta le cours... A quoi sert les potions ? C'est une bonne question en fait... a quoi ca pourrait leur servir d'apprendre Ă  mĂ©langer des trucs ? Ella voulu Ă©crire sur son parchemin, mais s'apperçut qu'elle avait laissĂ© sa plume dans son sac... Elle prit son sac et sa plume Ă  l'intĂ©rieur. Au moment de le reposĂ©, son sac se renversa par terre."Oh meeeerde grrrr" s'Ă©cria-t-elle avant de rajouter "Oups excusez moi" Miley BranNombre de messages 804Age 30Maison SerdaigleAge du Perso 14 ansDate d'inscription 07/05/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP ModĂ©ratrice / Membre des 9FacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Mer 11 Oct 2006 - 1610 La rentrĂ©e avait commençée depuis quelques jours maintenant. Les Ă©lĂšves Ă©taient rentrĂ©s de vacances et ils semblaient Ă  peu prĂšs tous embĂȘtĂ© de recommencer les cours sauf quelques uns qui Ă©taient studieux. Nathalie avait passĂ© des vacances merveilleuses avec Yannis, c'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle Ă©tait sortie de l'Enceinte de Poudlard depuis des annĂ©es et cette sortie avec Yannis, ce changement de dĂ©cor lui avait fait le plus grand bien. Elle se sentait un peu plus remotivĂ©e maintenant et Yannis avait su lui parler dans la Tour d'Astronomie juste avant les vacances. Elle allait garder des souvenirs merveilleux de ces vacances et elle espĂ©rait en passer d'autres comme ça. EmmaĂ«lle et SalomĂ© avaient Ă©tĂ© super, Yannis aussi mais son frĂšre avait Ă©tĂ© discret. C'Ă©tait Ă  peine si elle avait conscience que Yannis avait un frĂšre, en fait, si il ne lui avait rien dit, elle ne l'aurait peut-ĂȘtre jamais su. Elle ne cessait de penser aux vacances mais maintenant, c'Ă©tait fini. Tout Ă©tait reparti et Nathalie Ă©tait en cinquiĂšme annĂ©e cette annĂ©e, elle devrait assurer sinon elle risquait de doubler et elle passait ses BUSE, ce ne serait pas bon de voir un Ă©chec Ă  cette annĂ©e prĂ©cise alors qu'elle s'en Ă©tait tirĂ©e sans trop de dĂ©gĂąts l'annĂ©e passĂ©e. Elle Ă©tait toujours dans son dortoir, couchĂ©e dans son lit et le soleil commencait Ă  se lever doucement et lentement. Elle ne voulait pas vraiment se lever mais elle n'avait pas le choix. Si jamais elle ne se levait pas, qu'est-ce que ça allait ĂȘtre avec les Gryffondors ? "La PrĂ©fĂšte qui ne se lĂšve pas alors on ne doit pas se lever nous non plus". Elle voyait dĂ©jĂ  la chose mais elle ne voulait pas que ça se passe comme ça. Elle dĂ©cida alors de se lever, parresseusement mais elle Ă©tait debout. Les Ă©vĂšnements des jours prĂ©cĂ©dents l'avait un peu Ă©puisĂ©e, la rĂ©partition des nouveaux Ă©lĂšves, le retour Ă  Poudlard, le nettoyage des chambres ou du moins voir si tout Ă©tait en ordre. Elle le savait qu'elle allait avoir beaucoup plus de travail cette annĂ©e mais elle Ă©tait dĂ©jĂ  Ă©puisĂ©e alors que ça ne faisait que commencer. Elle s'habilla en vitesse et descenda du dortoir pour se diriger vers la Salle Commune. Tout Ă©tait silencieux, les Ă©lĂšves dormaient encore. En mĂȘme temps, c'Ă©tait normal vu l'heure qu'il Ă©tait, sept heure se dirigea vers le portrait de la Grosse Dame et poussa le portrait pour pouvoir sortir. La Grosse Dame avait l'air contente de voir Nathalie comme ça, elle savait qu'elle allait manger un petit bout, du moins essayer, avant de se diriger Ă  son premier cours de la journĂ©e. D'ailleurs, quel Ă©tait ce premier cours ? Elle pris son sac, l'ouvrit et jeta un coup d'oeuil Ă  la grille qu'elle avait reçue. Elle avait oubliĂ© de regarder le Panneau d'Affichage dans la Salle Commune et pourtant, le PrĂ©fĂšt Matthew venait d'afficher les horaires. Elle le savait mais ne voulait pas regarder la en prenant le risque d'arriver en retard. Elle vit alors que son premier cours Ă©tait le cours de Potion. Elle n'avait pas trop aimĂ© ceux de l'annĂ©e passĂ©e bien qu'ils n'Ă©taient pas trĂšs nombreux. A vrai dire, c'Ă©tait le professeur qu'elle n'aimait pas beaucoup. Cette annĂ©e, ça allait sĂ»rement ĂȘtre diffĂ©rent. Elle regarda le nom du professeur inscrit Ă  cĂŽtĂ© de la matiĂšre. Mark Jullien. Ce nom lui disait quelque chose et elle l'avait dĂ©jĂ  entendu quelque part mais oĂč ? Elle n'en savait trop rien. Tant pis, elle serait dans l'ignorance jusqu'au moment oĂč il se prĂ©senterait. Les couloirs Ă©taient Ă©trangement vides. C'Ă©tait vraiment bizarre, tout le monde dormait sauf les professeurs qui s'agitaient pour prĂ©parer leur salle de classe. Nathalie reconnu son ancien professeur d'Astronomie. PsychĂ© ArĂšs dans les couloirs qui enseignaient la Divination Ă  prĂ©sent. Elle l'avait constatĂ© sur son planning. Elle avait aussi vu, Ă  son grand regret, que le professeur de Soins Aux CrĂ©atures Magique avait quittĂ© l'Ă©cole, il n'enseignait plus cette matiĂšre. C'Ă©tait un de ses professeurs prĂ©fĂ©rĂ©s, elle espĂ©rait quand mĂȘme qu'elle le reverrait au moins une fois. Elle avait vu aussi que c'Ă©tait une certaine Serenity Moonlight qui enseignait l'Astronomie. Elle ne connaissait plus grand monde en somme. Elle espĂ©rait qu'elle allait quand mĂȘme s'entendre avec les professeurs cette annĂ©e. Pas qu'elle ne s'entendait pas avec eux l'annĂ©e passĂ©e, loin de lĂ . Elle s'entendait mĂȘme trĂšs bien avec ceux avec qui elle parlait. Elle Ă©tait Ă  prĂ©sent devant la porte de la Grande Salle et dĂ©cida d'y entrer pour essayer de boire n'est-ce qu'un jus d'orange et prendre une tranche de pain. C'Ă©tait dĂ©jĂ  quelque chose. Elle s'installa Ă  la table de Gryffondor et avala un jus d'orange en Ă©coutant le silence qui Ă©tait encore lĂ©gĂšrement prĂ©sent. Les Ă©lĂšves commencaient Ă  arriver. Nathalie avait fini et se dirigea vers les cachots mais, avant ça, dans la Grande Salle, elle repĂ©ra Yannis qui lui avait fait un signe de la main. Elle se dirigea vers lui et lui dit bonjour puis il se dirigea vers les cachots. Il avait sans doute cours de Potions lui aussi. Il poussa la porte avant elle et se prĂ©senta au professeur. Nathalie s'avanca vers le bureau elle aussi et se prĂ©senta."Bonjour professeur, je suis Nathalie Cerrada Ă  Gryffondor en cinquiĂšme annĂ©e."Elle souria puis alla s'asseoir Ă  une place vide, Ă  cĂŽtĂ© de Yannis mais de l'autre cĂŽtĂ© vu que les tables Ă©taient pour quatre, prĂšs d'un chaudron, Yannis Ă©tait dĂ©jĂ  assis prĂšs de quelqu'un et une Ă©lĂšve de Poufsouffle fit un commentaire mais Nathalie n'y prĂȘta aucun attention tout comme Yannis apparemment et la jeune fille qui avait reçu le commentaire. Une autre jeune fille, une jumelle aparemment, fit encore du tappage et Nathalie rĂ©flĂ©chissait toujours Ă  une rĂ©ponse probable Ă  donner au professeur. Il s'Ă©tait prĂ©sentĂ© et elle avait trouvĂ© la rĂ©ponse Ă  sa question prĂ©cĂ©dente. "OĂč avait-elle entendu ce nom ?". Tout simplement parce qu'il Ă©tait dĂ©jĂ  professeur ici l'annĂ©e passĂ©e mais en tant que professeur d'Arithmancie mais vu qu'elle n'avait pas eu cette option-lĂ , elle ne le connaissait que de vue et de nom. Elle pensait Ă  une rĂ©ponse pour pouvoir lui rĂ©pondre et leva la main. Il lui accorda la parole et elle rĂ©pondit."Pour moi, le terme de potion, c'est un mĂ©lange d'ingrĂ©dients permettant d'avoir une "solution" qui permet de faire quelque chose avec ce qui est obtenu. Enfin, plus ou moins. Et ce que j'attend du cours... C'est surtout pouvoir rĂ©aliser des potions et comprendre pour pouvoir le faire en sortant de Poudlard."Elle venait de donner sa rĂ©ponse et le professeur semblait y rĂ©flĂ©chir mais elle pensait que c'Ă©tait assez stupide comme rĂ©ponse. Enfin, elle aurait essayĂ© au moins, c'Ă©tait dĂ©jĂ  ça. Elle savait qu'elle allait devoir faire des efforts mais niveau question, elle Ă©tait assez nulle, du moins, pour exprimer ça.[HJ DĂ©solĂ©e, c'est nul au niveau de la rĂ©ponse...] ZorehiraInvitĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Sam 14 Oct 2006 - 2236 Sans bruit, se voulant minuscule, Uriana espĂ©rait passĂ©e inaperçue, mais visiblement, ça ne serait pas possible. En observant tout le monde entrer, elle n'avait pus rater les regard qui se posaient sur elle quelques secondes. Oh, ça ne durait jamais longtemps, mais elle Ă©tait visible... arf... pourquoi n'avait-elle pas la facultĂ© de se rendre totalement invisible. Elle pourrait assister aux cours sans se faire voir. Ça se serait bien. Un jeune Serdaigle de mĂȘme annĂ©e, un McBride, demande s'il peut prendre la place libre. Elle hoche la tĂȘte, l'air impassible. Lui ou un autre, au moins lui ne bavardera pas sans cesse. Uriana ne parlait que trĂšs peu, mais pensait sans doute pour 10. Et nĂ©cessairement, elle devait penser pour cette turquoise de Despwal. Ça c'Ă©tait le type de fille qui ne rĂ©flĂ©chissait pas avant de parler. Elle lui adresse un regard vert sombre et ne s'en occupe pas beaucoup plus. Ces Despwal jacassaient sans cesse, mais peu d'Ă©lĂšves portaient vraiment attention Ă  ce qu'elles racontaient. Et d'ailleurs, elle se dĂ©sintĂ©ressaient d'une chose et l'autre Ă  une vitesse impressionnante. Cependant, la donne change lorsque le professeur intervient. Uriana ouvre de grands yeux stupĂ©faits. Pourquoi Ă©tait-il intervenu ! Personne n'en aurait tenu compte, mais lĂ , elle voit les regards converger vers leur coin de classe. Arf ! Son teint pĂąle vire au rouge bouillant et elle baisse les yeux et la tĂȘte sur le dessus de son bureau. Elle dĂ©teste ça ! Cette Despwal, elle la dĂ©teste. SaletĂ© de turquoise ! Et surtout lorsque l'autre s'en mĂȘle... la violette Ă©tait aussi dĂ©rangeante que sa soeur. Autrement, mais agaçante... le professeur avait posĂ© une question, mais elle n'allait pas lui rĂ©pondre. C'Ă©tait une question personnelle de toute façon, fallait pas s'attendre Ă  ce que Uriana dĂ©voile une rĂ©ponse personnelle, et surtout pas Ă  haute voix. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ ~~ Cours des 4Ăšme, 5Ăšme annĂ©e ~~ Page 1 sur 1 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS COURS ET EXAMENSSauter vers
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sonnerie il était une fois dans l ouest