MicrosoftEdge. Le mode Enfants est un mode de navigation pratique à l’Microsoft Edge conçu pour les enfants. Avec ses fonctionnalités conviviales pour les enfants et ses protections en place, le mode Enfants est un endroit idéal pour explorer le web en toute sécurité. Le mode Enfant inclut des fonctionnalités telles que les thèmes de

Nouvelle série d’animation pour enfants sur Netflix, Centaurworld mise sur un monde coloré, des personnages originaux et des musiques entraînantes pour séduire le jeune public. Conseillée à partir de 8 ans - Actuellement sur Netflix • Il était une fois Centaurworld raconte comment une jument quitte un monde en guerre pour se retrouver dans un pays étrange où vit une foule hétéroclite de drôles de centaures amateurs de chansons. Prête à tout pour rentrer chez elle, elle se lie d'amitié avec quelques-unes de ces créatures magiques et part pour une aventure encore plus difficile que ce qu'elle a connu auparavant sur les champs de bataille. • Ce qu'ils vont adorer Centaurworld est une série d’animation originale et colorée très feel good. L’animation ultra léchée rend les personnages attachants et adoucit la tragédie qui touche la jument, qui a été séparée de sa cavalière et enfermée malgré elle dans un monde aux couleurs de l’arc-en-ciel et rempli de centaures délurés. Netflix Outre la qualité de l’animation, ce sont les musiques brillamment écrites et interprétées, dignes des meilleurs Disney / Pixar, qui vont charmer les enfants. La série réussit à naviguer entre drame et humour avec intelligence et livre des messages intelligents et ludiques avec beaucoup de rythme et d’entrain. La horde de centaures que la jument va être amenée à côtoyer utilise une certaine magie qui va enchanter et faire rire les enfants. La showrunneuse Megan Nicole Dong en connaît un rayon sur les chevaux et la magie puisqu'elle était scénariste sur Mon petit poney. Elle réussit à insuffler à Centaurworld une ambiance à la Magicien d'Oz avec cette farandole de personnages loufoques en quête de nouveautés et d'aventures. Netflix Les péripéties épiques qui attendent la jument et ses nouveaux comparses sont pleines de rebondissements et de retournements de situation qui sauront captiver et émerveiller le jeune public au fur et à mesure des vingt épisodes qui composent la première saison de Centaurworld. • Ce qui peut les inquiéter Les personnages peuvent déranger à première vue puisqu’ils ont des formes étranges et atypiques. Mais leurs côtés candide et naïf les rendent extrêmement sympathiques et attachants. Le contexte de la guerre contre des monstres affreux auquel sont confrontés la cavalière et sa monture peut effrayer les plus petits mais les plus âgés sauront gérer ce genre de scènes de bataille. Netflix • Ce qu'ils vont garder au fond d'eux Décalée, drôle et originale, Centaurworld est une série qui délivre un beau message sur le pouvoir de l’amitié et l’importance de la bienveillance et de la tolérance envers la différence. L'aventure folle de cette bande attachante inculquera le courage d'affronter l'inconnu et l'envie de se battre pour ce qui est juste. En suivant le parcours de la jument, qui va s’extraire de ses préjugés pour accepter ses nouvelles connaissances telles qu’elles sont, tisser de véritables liens d’amitié et s’ouvrir à un monde plus divers et coloré, les enfants auront un bel exemple de partage, de solidarité et d’acceptation.

On est en train de vivre une crise sanitaire historique et faudrait se demander si on va donner ou pas des masques ?"
ServerName waf-master-vm LocalTime August 17, 2022, 847 pm TransactionID e5ef1228d9445140b375e7f6cda07914Remote Address Country UkraineUA Method GET Requested URL Protocol HTTP/ User Agent Mozilla/ Windows NT Win64; x64 AppleWebKit/ KHTML, like Gecko Chrome/ Safari/ Please contact the webmaster of this website and provide the information above if you think this is a mistake. return to
vendredi août 26th, 2022 |. Twitter Facebook. Rechercher

Photos d'actualitésImagesImages créativesPhotos d'actualitésVidéosVidéos créativesVidéos d’actualités"Elle Power Girl Barbie" Photocall At Cite des Sciences Et De L'Industrie In ParisPARIS, FRANCE - MARCH 16 Journalist Apolline de Malherbe attends "Elle Power Girl Barbie" at La Cite des Sciences on March 16, 2019 in Paris, France. Photo by Laurent Viteur/Getty ImagesImages embarquéesImage-maquette

Dansle cadre des Apéros de Bordeaux qui se tiendront au Grand marché, Karyne Duplessis Piché vous propose de découvrir l’ABC des vins de Bordeaux. Au programme, 4 verres de vin et des bouchées pour en savoir plus sur cette région mythique et unique. Quatre vins et des bouchées gourmandes pour démarrer l'apéro. 30 places disponibles
VITALITEIls associent des vitamines, des minéraux et des actifs issus de plantes pour vous assurer une bonne santé au quotidien. Retrouvez ici tous nos produits. Compléments alimentaires vitamines compléments alimentaires tonus vitalité Questions fréquentesLa vitalité désigne la qualité d’une personne à manifester une grande énergie, un dynamisme, de l’entrain dans ses activités notre complexe spécial vitalité VITALINOVComment retrouver sa vitalité ?Raplapla, Ramollo, Ronchonchon… L’hiver laisse parfois place à une petite baisse de tonus ou de moral. Les journées qui se raccourcissent, le froid et la luminosité réduite sont des facteurs qui influent sur notre moral et notre organisme. Mais comment retrouver sa vitalité ? Voici 5 astuces pour que vitalité ne soit plus synonyme de fatigue Bien dormir Dormir c’est capital ! Tout le monde sait à quel point le sommeil est important, cependant, la fatigue se caractérise souvent par un manque de sommeil. Pour s’endormir dans les meilleures dispositions, il faut veiller à garder sa chambre au frais, sans lumière, il est aussi important de favoriser un retour au calme avant de s’endormir lecture, musique douce… et surtout éviter les écrans. En effet, la lumière des écrans ralentit la production de l’hormone du sommeil mélatonine. De plus, il est primordial de respecter des heures régulières de levé et de couché et un temps de sommeil entre 6 et 9h pour un adulte afin de recouvrer sa vitalité. Manger équilibré L’alimentation est aussi un facteur essentiel pour notre vitalité. Pour lutter contre une baisse de régime, on peut être tenté de manger plus. Or, cela épuise le métabolisme, il est donc conseillé de privilégier la qualité fruits et légumes frais riches en vitamines à la quantité. Pour compenser le manque de lumière, une supplémentation en vitamine D peut être recommandée. Pratiquer une activité physique régulière Pour stimuler le métabolisme et récupérer en vitalité, il est conseillé de pratiquer une activité physique régulière au moins 30 minutes par jour. Se détendre Réapprenez à respirer ! En effet, de plus en plus de personnes n’arrivent plus à se détendre ou à se relaxer. Plongés dans leur vie à 200 à l’heure, ils n’arrivent plus à se se relaxer. Consacrez quelques minutes à la respiration est très important afin de retrouver une pêche d’enfer ! Se faire plaisir Le plaisir associé à la détente sont des sources de dopamine molécule du plaisir », associée à notre vitalité. Découvrez notre complexe spécial vitalité VITALINOVQuelle est l’influence de la vitalité sur l’état de bonne ou mauvaise santé ?La vitalité ou force vitale fonctionne de paire avec la bonne santé. En effet, si l’on met du carburant dans un avion sans ailes, celui-ci ne vole pas. C’est exactement ce qu’il se passe pour notre corps, lorsque l’on est pas en bonne santé, notre énergie vitale n’est pas optimale. Afin d'augmenter son capital vitalité, il existe différentes méthodes pour y parvenir le sommeil, une alimentation équilibrée, la pratique du sport…Découvrez notre complexe spécial vitalité VITALINOVQuels aliments donnent de la vitalité ?La saison hivernale est parfois source de perte d’énergie. Un des principal facteur pour en retrouver est l’alimentation. Mais quels sont les aliments qui sont susceptibles de nous faire déborder de vitalité ? L’orange L’orange est une fruit multi-vitaminé qui donne la pêche ! En effet, l’orange est un agrume riche en vitamine C, celle-ci est essentielle pour stimuler nos défenses immunitaires, elle possède aussi une fonction anti-oxydante protège du vieillissement cellulaire. En plus, l’orange est source de vitamine B9 acide folique, de calcium, de magnésium et de Les amandes sont riches en lipides omégas 3, 6, 9,en vitamines E, en fibres et en banane La banane contient des glucides qui sont le principal constituant énergétique. Mais ce n’est pas tout ! Elle est aussi source de fibres, de vitamines B6, B9 et de minéraux potassium, manganèse, sélénium.Les lentilles Les lentilles sont riches en fibres, en protéines végétales, en antioxydants et en minéraux particulièrement en fer. Le fer est essentiel à la production d’hémoglobine, principale composante des globules rouges. Les poissons gras Le saumon, le maquereau, la sardine, le hareng sont des poissons riches en oméga 3. Ces acides gras sont bons pour la santé car ils réduisent le risque de maladies chou Kale Le chou kale ou chou frisé est très peu connu du grand public pourtant il mérite d’être dans le lumière. Le chou Kale est un super-aliment qui possède une teneur élevée en protéines, en fer, en vitamines A,E,C,K, en minéraux, en oméga 3 et en notre complexe spécial vitalité VITALINOV Unerandonnée itinérante et littéraire au départ de Remiremont, altitude 400 m, la ville des chanoinesses, pour une arrivée dans le coeur du massif Ballon d’Alsace, Rouge-Gazon, altitude 1100 m. Vous découvrirez l’histoire dans l’Histoire, celle des Forestaux gardiens de la chasse et des forêts du moyen Âge jusqu’au XVII ème Née en 1913 dans la commune de Camburat Lot, et décédée en 2012, Édith Battut a choisi la formation de surintendante par curiosité intellectuelle et volonté de jouer un rôle actif dans une société qui offrait peu de perspectives aux femmes. Un an après sa sortie de l’école des Surintendantes Paris, un poste lui est proposé à St Brieuc pour structurer un service social initié par le jeune Père Lebret, dominicain. Célibataire, elle fera l’ensemble de sa carrière auprès de cette population maritime, développant le service social maritime, service social polyvalent de catégorie, créant un ensemble de services collectifs, sur le territoire français et d’outre mer, puis, dans les années 1970, accompagnant ses mutations. Née en 1913 dans une famille de la petite bourgeoisie du Lot, Édith Battut comme ses frères et sœurs fait des études secondaires, et se trouve confrontée au faible choix offert alors aux femmes en matière d’orientation. S’étant rapprochée du ministère de la santé, elle prend connaissance de la formation proposée par l’école des Surintendantes Paris dont les objectifs une vie active avec des responsabilités au service de l’humanité » et le programme l’attire. Elle s’y s’inscrit en 1934, simplement armée de son baccalauréat. Accueille par J. Sivadon au sein d’une promotion de 35 élèves, elle doit préparer en parallèle son diplôme de la Croix Rouge et manifeste un intérêt notamment pour les cours de psychiatrie et d’économie politique. Elle apprécie l’ouverture intellectuelle de l’école où elle entend parler des mouvements de pensée contemporaine avec les cours d’un père jésuite ou d’un syndicaliste de la CGT. A la sortie de l’école elle adhère à l’association des anciennes. À sa sortie, elle participe à une étude sur la sous-alimentation des enfants, puis travaille à mi-temps au service d’entr’aide du 5e arrondissement de Paris, mais ce poste l’intéresse peu. En juin 1937, Jeanne Sivadon, directrice de l’Ecole des Surintendantes, lui propose un poste à Saint-Brieuc il s’agit faire fonctionner, pour le département des Côtes du nord, un bureau d’embarquement de marins et de créer un service social pour cette population dont l’initiative revient au père Lebret, jeune dominicain breton, futur fondateur 1942 du centre d’études Economie et humanisme », puis de la revue du même nom. Elle part s’installer à St Brieuc en septembre 37, loge dans un hôtel, effectue divers stages à St Malo et au Havre la Compagnie générale Transatlantique est alors la seule compagnie à avoir un service social, et dans le seul port du Havre. On lui met à disposition un bureau. À la fin de sa première année, elle achète un véhicule et recrute une secrétaire. Elle déclare alors gagner 1 200 francs par mois en 1937, le salaire d’un ouvrier parisien est estimé à 2 000 francs. Dans son premier rapport d’activité, elle décrit la population maritime évaluée à 54 000 marins le marin et sa famille, les spécificités de leur mode de vie du marin, procède à une revue des Compagnies de navigation ou Sociétés d’armement dans les différents ports de France. Elle alerte sur la protection sociale des gens de mer depuis Colbert ils bénéficient d’un régime spécifique avec 2 caisses caisse générale de prévoyance et caisses de retraite, leur âge de départ en retraite est alors de 55 ans. Ils bénéficient d’une Caisse de compensation allocations familiales créée par les armateurs, dont le siège est à Paris. Mais dans ce rapport, elle traite aussi des organismes professionnels comité central des armateurs et CGT et des institutions d’aide il n’existe alors pas de service social ni de fonds de secours à part le service social de la compagnie transatlantique du Havre et quelques rares foyers d’hébergement, sortes d’asile de nuit Le Havre, Bordeaux…. Elle conclut son rapport sur la nécessité de créer un service spécialisé, compte tenu des particularismes de la profession de marin, de son isolement, avec ses répercussions sur la vie familiale et la nécessité de créer un réseau de services lié à l’implantation des ports. En juin 1938, elle rédige son mémoire de fin formation nourri de ce rapport d’activité, et s’entend dire par une de ses examinatrices qu’elle se fourvoyait et n’aboutirait pas. Affirmant ainsi un point de vue et défendant un projet, elle a failli échouer, et déclare alors s’être sentie proche de la population avec laquelle elle travaille tels nos marins nous nous sentions incomprise par les gens de terre ». C’est toutefois sur cette base qu’elle construira le service social maritime, sous forme associative, mettant ainsi en pratique sa toute récente formation sur la loi 1901. L’objectif est à la fois de mettre en place un service social dans le département et de faire fonctionner un Bureau d’embarquement, sorte de médiation entre les marins, les ports et les armateurs employeurs. Les employeurs préfèrent passer par de tels bureaux plutôt que de recruter des marins trainant sur le port. En effet, les marins de commerce circulaient d’un port à un autre pour trouver des embarquements. Son activité de jeune assistante sociale l’amène à se déplacer pour des tournées, elle parcourt les localités maritimes en train, à pieds, elle circule en Bretagne, cherchant à établir un dialogue et à mettre en confiance les familles pour leur présenter le rôle du Bureau. Elle se rend aussi à Paris, cherchant à rencontrer directeur ou président de la compagnie, mais doit se contenter d’entrevues avec le chef du personnel naviguant… Lors d’une de ces visites, elle rencontre les dirigeants du Journal de la Marine marchande, et écrit un article pour la revue on notera que c’est le premier article d’une femme dans cette revue. Elle doit essuyer diverses critiques de la part du syndicat professionnel des pêcheurs de St Malo qui lui reproche de piétiner sur ses plates-bandes, une trop grande ambition et une forme de prétention à vouloir défendre, en tant qu’assistante sociale, le principe de la neutralité. Sa condition de femme, et de femme célibataire, jouent en sa défaveur. De son coté, elle analyse ces critiques comme un signe de l’importance de ce service social naissant et continue de réfléchir sur ces questions d’éthique qui lui tiennent à cœur. Édith Battut est nommée directrice du service qu’elle promeut, refusant de limiter son action à une seule œuvre sociale ». Dès 1940, un budget est stabilisé, avec des créations de postes à Marseille, Dinard, Arcachon, Saint Nazaire. Avec le soutien du Président de l’Union Sociale Maritime USM, le principe est établi d’une cotisation systématique et équitablement répartie entre les armateurs pour financer le service, via la Caisse de compensation. L’USM devient chargée du service social auprès du personnel naviguant qui compte 54 000 marins et 8000 sédentaires auquel s’ajoutent 55 000 retraités, avec la création du service social pour la pêche industrielle. En 1941, l’USM devient le service social inter-entreprise des compagnies de navigation et se structure pour s’adapter aux besoins de la guerre et s’adresse à 74 400 pêcheurs, 20 480 venant de la pêche industrielle. L’année 1941 voit la création de 20 postes d’assistantes sociales dont des postes outre-mer Oran et Alger. À cette date on compte au total 33 postes d’assistantes sociales. Le service est organisé en territoires, les assistantes sociales régionales sont réunies trimestriellement à Paris, quand une réunion générale » regroupe annuellement l’ensemble des assistantes sociales. Pendant toute cette période de guerre, E. Battut travaille sur la méthodologie d’intervention accompagnement individualisé, travail de prévention, service social collectif, éducation ménagère des cours d’enseignement ménager sont organisés pour les femmes à Marseille et Arcachon dès 1941, mise en place de consultations de nourrissons, orientations vers les colonies de vacances, actions d’orientation professionnelle des enfants de marin, recherche d’emploi, création d’un foyer dans un bateau à quai à Marseille, ouverture de bibliothèques. Des liens sont créés avec d’autres organismes comme l’ADOSM association pour le développement des œuvres sociales de la marine, ou l’EAM écoles d’apprentissage maritime. La fin de la guerre voit l’intensification de l’activité dans les ports bombardés, avec des évacuations de populations, l’accueil de réfugiés etc. En particulier on peut souligner l’achat du château d’Amboise pour accueillir des enfants victimes des bombardements. Après 1945, le service retrouve un fonctionnement pour un temps de paix. A partir de 1947 des études sont menées où les assistantes sociales sont sollicitées sur des thèmes tels que les répercussions du métier de marin dans la vie familiale, en 1949 une étude sur l’enfant normal d’âge scolaire dans la population maritime et en 1951 une étude sur le logement, ensuite publiée dans la revue Informations sociales CNAF. En 1948 le service compte 65 assistantes sociales dont 6 régionales, plus 16 secrétaires. Auquel s’ajoutent 7 centres d’enseignement ménager, 31 consultations de nourrissons, 4 colonies de vacances, 13 garderies centres aérés, l’organisation de 22 arbres de Noël, et 1 bibliothèque circulante à bord des navires dans chaque port. L’USM est à la fois un service social d’entreprises et un service social familial. L’USM se déclarera service polyvalent de catégorie en 1950 loi 4 aout 1950 sur la coordination des services. En 1948 les Bureaux de compensation créés par les armateurs disparaissent, remplacés par la Caisse Nationale d’Allocations Familiales des Marins du Commerce CNAFMC, relevant du régime général. Édith Battut y siège en tant que personne qualifiée. Par convention, le service social de la CNAFMC est assuré par l’USM. Ainsi une unité d’action dans la profession maritime est assurée pour les 13 332 allocataires et 25 946 enfants. Les années 1958-1962 sont des années de transition avec un accroissement des demandes des Compagnies ; l’activité des assistantes sociales auprès des comités d’entreprise se développe et l’USM assure le service social de l’ENIM Établissement national des invalides des marins du commerce, c’est à dire le régime spécifique de protection sociale des marins. E. Battut porte une attention à la formation des assistantes sociales qui sont formées au case-work. Mais le contexte évolue et l’USM doit se repositionner la scolarité obligatoire étant passée à 16 ans, les centres d’enseignement ménager doivent se reconvertir et évoluent en Centre d’économie sociale et familiale. C’est le début de la formation des monitrices et la préparation à l’entrée en formation d’auxiliaire de puériculture. Les consultations de nourrissons sont progressivement supprimées. Au contraire l’activité des colonies de vacances se développe. Dans cette période, les premières liaisons sur le plan international s’installent et en février 1959 E. Battut participe à la Conférence internationale sur la santé et le bien-être des gens de mer à Marseille. La période 1963-1967 voit de grandes mutations dans la marine marchande liées notamment à la disparition de l’empire colonial, à la concurrence de l’aviation, à la fermeture du canal de Suez, ce qui se traduit par des inquiétudes dans la profession, accroissant l’activité du service social malgré la diminution du personnel naviguant. Les services d’action sociale collective doivent s’adapter à ce monde en transformation. Des postes d’assistantes sociales sont créés quand d’autres sont supprimés comme à Alger. Le service compte 71 assistantes sociales mais en 1975, il n’en comptera plus que 58. Après 1968, E. Battut constate un processus de déshumanisation du métier de marin avec l’automatisation des navires, les fusions d’entreprises. De nouvelles problématiques apparaissent phénomènes d’inadaptation, alcoolisme, maladies mentales. À partir de 1973, le partenariat se développe et les réunions générales » rassemblements nationaux des assistantes sociales sont ouvertes des entreprises, administrations, syndicats, et représentants des usagers y sont invités. En 1970, Édith Battut participe à la Conférence maritime du travail à Genève BIT, elle y représente le Conseil international de l’action sociale. Cette décennie voit de nouvelles transformations des actions continuent de se développer et d’autres sont en récession, ainsi de la diminution des colonies de vacances, la reconversion des centres ménagers, la suppression des consultations de nourrissons mais E. Battut impulse des démarches d’action collective, et tente un essai de service social communautaire. On note la création d’un centre social au Havre en 1973. C’est une ère nouvelle surabondance des textes législatifs, complexité de leur application, augmentation des problèmes d’ordre psychologique dans la population. Toutefois, le service social de groupe destiné aux femmes de marin se développe et E. Battut participe à la formation des futurs officiers aux relations humaines. Pendant sa retraite E. Battut suit les cours de l’Ecole du Louvre et de l’Institut catholique de Paris. Elevée au grade de Chevalier puis Officier de la Légion d’Honneur, elle décède en 2012 à l’âge de 99 ans, et est enterrée dans son village natal de Camburat. PUBLICATIONS Édith Battut, Marins des commerce », Pages sociales, n° 21, novembre 1946. SOURCE Témoignage d’E. Battut ; Fonds Kniebiehler/ CEDIAS, Paris Nathalie Blanchard JulienKnebusch et Thomas Augais dir., Le Geste chirurgical : histoire, littérature, arts visuels (XXe-XXIe), georg, 2020 [livre] Pierre Ancery, Les fabuleux portraits-charge d’André Gill en Une de l’Éclipse, Retronews, 2020. Nicolas Labarre, Bibliothèque dessinée et roman graphique, DU9, 2020. Mise en ligne exceptionnelle de la revue Histoire de l’art, no 84-85: États du musée. Août 10, 2022 Brice B. 4minutes de lecture Un processus est un terme utilisé pour décrire une application ou un programme. Par exemple, lorsque nous ouvrons un navigateur Internet comme Google Chrome, nous pouvons dire qu’un processus, responsable de l’exécution de Chrome, a été lancé et est en cours d’exécution jusqu’à ce que nous fermions le navigateur. Même lorsque nous exécutons une commande bash, un nouveau processus apparaît. Si nous ouvrons la même application deux fois ou si vous et un ami l’ouvrez sur le même système, deux processus seront lancés. Dans ce tutoriel, nous vous apprendrons à gérer les processus sous Linux via la ligne de commande. Cela est nécessaire si vous souhaitez voir les processus actifs ou si vous souhaitez voir les processus qui prennent la plupart des ressources de votre machine. Ce dont vous aurez besoinÉtape 1 – Affichage des processus sous LinuxÉtape 2 – Tuer et hiérarchiser les processus Ce dont vous aurez besoin Avant de gérer les processus sur Linux, assurez-vous d’avoir les éléments suivants Accès à la ligne de commande Étape 1 – Affichage des processus sous Linux Voici des mots-clés utiles pour apprendre avant de commencer à lire ce didacticiel PID – ID de processus. Chaque processus possède son propre numéro à 5 chiffres. Il ne peut pas y avoir plus d’un même PID dans le système. PPID – ID de parent de processus. ID du processus qui a lancé ce processus en particulier. Les deux commandes les plus couramment utilisées pour visualiser les processus sont top et ps. La différence entre les deux est que top est utilisé de manière interactive/dans un terminal et que ps est plutôt utilisé dans les scripts, combiné avec d’autres commandes bash. top – Cette commande est probablement la plus basique et est souvent utilisé pour afficher simplement les processus qui consomment le plus de ressources actuellement. Lorsque vous exécutez la commande top dans un terminal, vous verrez une fenêtre semblable à ceci top est une appliction simple. Après l’exécution de la commande, le terminal change d’affichage. La liste des processus est constamment mise à jour toutes les 5 secondes environ. Ce nouvel affichage est interactif grâce à l’utilisation du clavier. Quelques exemples H ou ? – Afficher une fenêtre d’ aide avec toutes les commandes et autres informations utiles. Espace – Appuyez dessus pour mettre à jour la liste des processus. F – Ajouter des champs ou supprime certains champs. Q – Quitte l’application top ou une fenêtre rattachée à top. Par exemple, après avoir utilisé la fonction F. L – Affiche les informations relatives à la disponibilité et l’utilisation moyenne. M – Permet d’afficher des informations sur la mémoire. P Shift + p – Trier les processus en fonction de l’utilisation du processeur. S – Modifie le délai entre les actualisations En secondes. Avec la commande top , vous pouvez également utiliser certaines options, telles que -d delay – pour spécifier l’intervalle de rafraîchissement à la place du délai. -n number – rafraîchir un certain nombre de fois, puis quitter top. -p pid -affiche uniquement et surveille les processus qui ont un id de processus pid particulier. -q – rafraîchir sans délai. Pour d’autres commandes et options de clavier utiles, consultez ce site Web. Vous pouvez également utiliser man top pour afficher d’autres informations utiles concernant cette commande. Autres usages utiles de top Pour afficher les processus d’un utilisateur en particulier, vous pouvez utiliser top -u utilisateur Pour tuer/arrêter un processus en cours d’exécution, trouvez le PID du processus que vous souhaitez tuer et appuyez sur k une autre commande du clavier. Vous serez invité à entrer ce même PID et à exécuter la commande. Vous pouvez enregistrer les paramètres actuels de la commande top en utilisant le raccourci clavier Shift + W. Les paramètre seront sauvegardés dans /root/.toprc ps – Une autre commande très utile pour afficher les processus sous Linux. Voici quelques options fréquemment utilisées avec la commande ps -e – Affiche tous les processus. -f – Listing complet. -r – Affiche uniquement les processus en cours d’exécution. -u – Possibilité d’utiliser un nom d’utilisateur ou plusieurs en particulier. –pid – Option de filtrage par PID . –ppid – Option de filtrage par PPID . -C – Filtrer les processus par leur nom ou leur commande. -o – Affiche les informations associées à une liste de mots-clés séparés par des virgules ou des espaces. Voici quelques exemples utiles sur la façon dont vous pouvez utiliser la commande ps » ps -ef – répertorie les processus en cours d’exécution. Une autre commande similaire est ps aux ps -f -u user1,user2 – Affiche tous les processus basés sur un ou des UID en particulier User ID ou nom d’utilisateur. ps -f –pid id – Affiche les processus basés sur un PID. A la place de id entrez le PID correspondant. Peut être utilisé avec –ppid au lieu de –pid pour filtrer par PPID. ps -C commande/nom – filtre les processus par leur nom ou leur commande. ps aux –sort=-pcpu,+pmem – Affiche les processus consommant la plus grande quantité de CPU. ps -e -o pid,uname,pcpu,pmem,comm – Utilisé pour afficher certaines colonnes seulement. ps -e -o pid,comm,etime – Affiche le temps depuis lequel le processus a démarré. Nous vous recommandons de consulter cette page pour plus d’informations et l’utilisation de la commande ps . Étape 2 – Tuer et hiérarchiser les processus Nous vous avons déjà montré comment tuer/arrêter un processus avec la commande top . Mais vous pouvez également le faire avec la commande kill . Par exemple kill pid – Ici, au lieu du PID, vous devez entrer l’ID du processus que vous voulez tuer. Si le processus ne veut pas s’arrêter, vous pouvez utiliser kill -9 pid . Une autre commande utile pour la gestion des processus est NICE . Il vous permet de hiérarchiser les processus au cas où vous en exécutez beaucoup sur votre système. De cette façon, votre système saura quels processus sont les plus importants et les exécutera en premier. Cette commande vous aide à prioriser les processus du plus important au moins important. Pour les processus qui ont une priorité inférieure, le système ne les exécutera que s’il le peut si une le processeur a assez de ressources à y allouer. Cette commande peut recevoir une valeur entre -20 et 19. Plus la valeur est basse, plus la priorité sera élevée pour un processus. La priorité par défaut de TOUS les processus est 0. La syntaxe de base est la suivante nice -n Priorité’ processus nom – Exemple nice -n 10 nom . Cela démarrera un nouveau processus avec la priorité 10. S’il existe déjà un processus s’exécutant sur le système avec le même nom et que vous voulez lui donner une priorité différente, vous pouvez utiliser renice Priorité’ -p PID’ Exemple renice ’10’ -p 54125’ . Conclusion Dans ce tutoriel, vous avez appris à gérer les processus sous Linux en ligne de commande. Il y a beaucoup de combinaisons différentes que vous pouvez utiliser avec les commandes que nous vous avons fourni, alors n’hésitez pas à expérimenter de vous même ! J’espère vous avoir été utile et je vous dis à très vite pour un nouveau tutoriel ! . 249 72 29 423 176 160 10 351

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