Undurée de vie qui nous laisse sur une faim. Un gameplay toujours aussi efficace. Les modes Fidélité et Performances très pertinents. Zero chargement entre chaque passage de dimensions. Le feeling de la DualSense

Plus de 5 ans après la sortie de son dernier opus sur PlayStation 4, le Lombax le plus connu du jeu vidéo revient le 11 juin prochain en exclusivité sur PlayStation 5. Il aura la difficile mission de faire patienter les joueurs dans une année de pandémie très maigre en sorties exclusives next-gen après seulement les sorties de Demon's Soul et Returnal depuis l'arrivée de la PS5 sur le marché. Que nous réserve cette nouvelle aventure aux côtés de Ratchet et Clank ? Les prouesses techniques annoncées par Sony concernant leur nouvelle console sont elles respectées et bien présentes ? Nous vous expliquons tout dans notre test complet de Ratchet & Clank Rift Apart. Genre Action/Plateforme Date de sortie 11 juin 2021 Plateforme PS5 Développeur Insomniac Games Éditeur Sony Prix 61,99 € Amazon Testé sur PS5 Un Lombax peut en cacher un autre ! Cela n'aura échappé à personne, mais la grande nouveauté de cet opus de Ratchet & Clank est l'introduction dans l'univers du jeu d'un second personnage "principal" nommé Rivet. Cette dernière est tout simplement le double dimensionnel féminin de Ratchet et se retrouve malgré elle dans une guerre dimensionnelle amenée par le Docteur Nefarious, le grand méchant provenant du monde de nos héros. L'histoire prend place plusieurs années après que Ratchet &Clank ont une nouvelle fois sauvé le monde ; ces derniers s'ennuient un peu depuis qu'ils n'ont plus de super vilains à corriger et ils se retrouvent à être les stars de défilés et autres conventions organisés sur leur planète. L'ajout d'un personnage tel que Rivet est un grand bol d'air frais pour la licence qui ouvre ses possibilités de narration et de scénario à une plus grande échelle, notamment quand les dimensions alternatives rentrent en jeu. On aurait pu craindre la facilité scénaristique quant à ce sujet, mais force est de constater que le jeu nous amène ça de manière plutôt intelligente tout en étant très accessible à comprendre pour un large public. Nous éviterons de trop vous en dire pour ne pas gâcher l'intrigue de l'histoire et les raisons qui font que les dimensions entrent en collision, mais sachez que Clank en est la source et qu'il a sous-estimé l'une de ses créations. Rivet, un personnage profond et attachant Pour en revenir à notre nouvelle protagoniste, il faut savoir qu'elle occupe une place prépondérante dans le jeu, voire même parfois supérieure à celle de Ratchet qui se retrouve parfois relégué au second plan. Ce qui n'est pas du tout un mal tellement Rivet se montre attachante et surprenante dans sa personnalité, en nous donnant toujours l'envie d'avancer dans l'histoire pour en voir le développement final. A noter que Clank ne sera pas en reste avec un traitement bien équilibré à base d'humour "froid" qui caractérise son personnage robotique et savant. Néanmoins, un quatrième personnage d'une grande importance sera de la partie, mais on ne vous en dira pas davantage pour ne pas vous enlever le plaisir de la découverte ! De notre côté, nous avons adoré les différents twists autour des nouveaux personnages ainsi que leur développement qui donne une vraie densité au scénario qui se veut être plus qu'un simple divertissement pour les jeunes. De l'action, des armes et des boulons ! La licence Ratchet & Clank est bien connue pour ne pas être un jeu de plateforme traditionnel, mais plus un jeu qui se situe entre l'action et l'aventure. Rift Apart ne fait pas exception à la règle et va même un peu plus loin que ces prédécesseurs avec des phases d'action plus présentes et dynamiques. En effet, il est possible pour le joueur d'utiliser une nouvelle mécanique propre à ce nouvel opus l'utilisation de failles dimensionnelles. Ces dernières sont représentées par des failles bleues qui deviennent jaunes lorsqu'elles sont à portée d'utilisation. Cela permet, une fois une faille activée, de s'avancer jusqu'à l'endroit où elle était située afin de nous donner un avantage en combat en se rapprochant des ennemis ou en les contournant pour mieux les surprendre. Cependant, les failles dimensionnelles ne sont pas les seules nouveautés qui vous permettront de tabasser du méchant tout au long de l'aventure ! Le large arsenal d'armes mises à disposition du joueur est une marque de fabrique de la licence Ratchet & Clank et ce nouvel épisode ne fait pas exception à la règle. En effet, c'est même plus d'une vingtaine d'armes qui sont présentes dans le jeu et qui possèdent toutes un gameplay propre pouvant contenter l'ensemble des joueurs. Tout y passe les pistolets, les fusils spatiaux, le sniper pour exploser des têtes, le lance-roquettes pour ceux qui auront une approche directe, des gants lançant des bombes ou qui invoquent des alliés originaux on vous laissera les découvrir !, des foreuses à tête chercheuse, et même des disques volants ! Toutes ces armes sont à acheter auprès de Madame Zurkon qui vous suivra dans tous vos déplacements afin de vous proposer de nouvelles armes en échange de vos boulons amassés pendant l'aventure, soit en tuant des ennemis, soit en détruisant des caisses disséminées dans le jeu ! Mais ce n'est pas tout puisque de la même manière que les épisodes précédents, toutes vos armes peuvent gagner de l'expérience et ainsi vous permettent de débloquer un arbre de talents qui viendront améliorer vos joujoux. Celui-ci vous propose des compétences qui pourront être échangées contre des cristaux — à récupérer dans des endroits bien cachés sur les différentes planètes— ou bien en venant à bout des monstres élites ou des Boss. On notera une belle utilisation des fonctionnalités de la Dualsense, qui permet aux armes notamment d'avoir deux tirs différents en fonction de la pression qui est exercée sur les gâchettes. Les vibrations nous font ressentir toute la puissance des armes, ainsi que les changements climatiques comme la pluie qui se ressent littéralement dans la paume de nos mains un peu comme l'avait fait précédemment Astro's Playroom. Une alchimie parfaite donc entre le nouveau matériel et le gameplay proposé, c'est un point sur lequel on attendait au tournant ce Ratchet & Clank et il est bon de constater que les développeurs d'Insomniac Games n'ont pas raté le coche ! Enfin, dernier ajout intéressant sur lequel on pourrait s'attarder les sets d'armures à récupérer, qui octroieront différents bonus à Ratchet et Rivet lorsque vous les débloquerez. Il vous sera bien sûr possible de personnaliser vos ensembles d'armures casque, torse et jambes comme il vous plaira et chaque pièce d'armure apportera des bonus de tous types — un pourcentage de boulons gagnés supplémentaires, des bonus de défense ou d'attaque pour vos armes et vos coups au corps-à-corps, ou encore des statistiques améliorées lorsque vous rencontrerez certains types d'ennemis. Ces armures se trouvent généralement dans des failles dimensionnelles cachées qui vous demanderont de parcourir un petit niveau de plateformes, mais pourront être également trouvées dans un recoin d'une planète ou bien en récompense du mode arène disponible dans le jeu. Pour terminer, on aura aussi différents objets annexes à récupérer — comme toujours dans les Ratchet & Clank des boulons dorés ils débloquent notamment des skins d'armes, de vaisseaux et des codes très fun, des ours en peluche, des robots espions et d'autres surprises ! Techniquement infaillible ? Ratchet & Clank Rift Apart est très attendu à l'aube de sa sortie le 11 juin prochain, car il se positionne comme un étendard pour montrer ce dont la PlayStation 5 est capable avec son SSD. Le jeu tourne autour d'une mécanique appuyée et bien mise en avant par Sony, les failles dimensionnelles, qui permettront à nos héros de sauter d'une dimension à une autre instantanément, et ce sans le moindre temps de chargement. Force est de constater que le contrat est rempli sur le rendu final et sur la promesse des changements de dimension instantané. Néanmoins, il faut souligner que les failles de ce genre — celles qui permettent de changer de dimension — ne sont pas si présentes que ça sur le jeu vous aurez l'occasion de croiser énormément de failles, bien sûr, mais ce seront pour la plupart celles qu'il faut activer et utiliser lors des explorations et de vos combats. Ces dernières sont des failles jaunes qui permettent de faire des sauts vers l'avant directement d'une plateforme à une autre de manière directe, mais toujours dans le même monde. Comme dit ci-dessus, les failles qui rendent possible un switch d'un monde à l'autre sans aucun temps de chargement ne sont pas majoritaires dans le jeu et parfois, elles sont également scriptées et liées à une action imposée par le jeu — comme par exemple des changements de dimension lorsque nous sommes sur des rails et que le jeu défile naturellement dans son script. Alors on vous rassure tout de suite, l'effet "wow" est bel et bien présent que l'action soit scriptée ou non car la promesse est tenue. Oui, il n'y a effectivement aucun temps de chargement lorsque des changements de dimension sont réalisés ou lorsque que vous changerez de planète avec votre vaisseau. Cela est sûrement dû à une utilisation très intelligente et optimisée des cut-scenes qui permet au final au joueur de ne jamais se retrouver face à un temps d'attente où il sera inactif. Il y a réellement peu de choses à reprocher à ce Ratchet & Clank A Rift Apart sur son aspect technique et sur sa réalisation. En dehors du système de failles très lourdement marketé qui, au final, est moins présent que ce qu'on aurait pu espérer, le jeu est d'une générosité folle dans sa réalisation et l'histoire qu'il nous raconte. A chaque changement de dimension, de planète ou de plan, on se retrouve à avoir les yeux qui brillent tant la qualité d'animation et les choix de colorimétrie sont bons. A noter que, lors de notre test, nous n'avons pu essayer que le mode "Fidélité" — qui est limité à 30 fps et les graphismes optimisés le mode Performance, quant à lui, sera disponible une fois le patch day one passé pour permettre aux joueurs d'avoir le choix entre le rendu graphique et la fluidité du gameplay. Cependant, jouer à Ratchet & Clank à 30 fps n'a posé aucun problème puisque c'est un jeu qui s'y prête totalement de base et qu'à aucun moment on a ressenti une chute de fps ou des phases handicapées par le fait que le jeu ne soit pas en 60 fps. Ce sera réellement aux joueurs de choisir ce qu'ils préfèrent pour leur expérience de jeu ; dans les deux cas, il sera difficile de faire la fine bouche devant le travail réalisé par les développeurs d'Insomniac Games, qui prouvent une nouvelle fois leur maîtrise et savoir faire lorsqu'il s'agit de créer un jeu vidéo. C'est indéniable, Insomniac Games est un studio qui possède des développeurs de talent et ce Ratchet & Clank A Rift Apart nous le prouve tout du long. On peut regretter une durée de vie un peu légère et un système de failles qui se veut plus timide que ce qui a été annoncé. Il est malgré tout difficile de nier que le rendu final est époustouflant et que le jeu n'aurait pas du tout la même saveur sur PS4, ce qui explique son exclusivité sur PS5. Cette impression de jouer à un jeu d'une qualité digne d'un film d'animation des studios Pixar voire mieux, avec autant de générosité dans son gameplay et son contenu, couplé à l'ajout de nouveaux personnages riches et travaillés, propulse le titre au niveau des jeux incontournables sur PlayStation 5 et comme l'un des piliers du genre shooter-platformer. Une formule qui fonctionne à merveille... Un film d'animation Pixar entre les mains Plus de 20 armes originales et très fun ! L'apparition et le développement de Rivet Une réalisation à couper le souffle Une technique qui réalise un sans faute Une direction artistique ultra soignée Bonne rejouabilité via le mode Défi La Dualsense bien mise en valeur ! ... mais qui ne se renouvelle que très peu Une durée de vie un peu légère 10-15h Le système de failles pas si présent que ça...
newsRatchet & Clank Rift Apart : deux membres d'Insomniac font valoir un développement sans crunch En attendant davantage de témoignages. Par Le Père Fidalbion (@LePereFidalbion) , le 9 juin
Juste un an après son annonce officielle, Ratchet & Clank Rift Apart va bel et bien débarquer d’ici le 11 juin prochain exclusivement sur PS5. Le titre a eu déjà le don de nous émerveiller à plusieurs reprises via ses nombreuses séquences de gameplay présentées, et se vend surtout comme l’un des jeux Ratchet & Clank faisant office de vitrine technologique de la PS5 par sa technique comme l’utilisation du SSD de la nouvelle console de Sony, permettant des transitions rapides et du plus bel effet. Au passage, et si vous ne le saviez pas encore, la production d’Insomniac Games fait clairement suite au Ratchet & Clank Nexus, et approfondit l’aspect voyage interdimensionnel, qui n’a été qu’à peine effleuré dans le jeu de 2013. Même si nous avions eu un bon aperçu de ce qu’a été capable de faire Insomniac Games avec le très bon remake du premier Ratchet & Clank, ce nouvel épisode est-il tout aussi divin et efficace que ses ainés ? Conditions de test Nous avons terminé Ratchet & Clank Rift Apart sur PS5 en 10h de jeu en dénichant quelques boulons d’or, robots espion, lorbes, nounours et quelques poches dimensionnelles, donnant accès à de l’équipement pour votre armure. Promo Une belle épopée interdimensionnelle assez prévisibleAbsolument pas radin en variété ce Ratchet & ClankUn système d’amélioration qui ne change pas l’ADN de la franchiseLe replay value assuréEnfin le début de la next-gen ? Une belle épopée interdimensionnelle assez prévisible Comme nous l’avons souligné plus haut, Ratchet & Clank Rift Apart se déroule des années après la fin de Ratchet & Clank Into the Nexus. Alors qu’une parade se déroule en compagnie de nos héros afin de fêter leurs nombreux exploits, la fête est hélas interrompue et gâchée par le docteur Nefarious. Le méchant iconique de la licence s’empare du dimensionnateur et dans un combat acharné entre Rachet, Clank et Nefarious, ce dernier se brise et les envoie dans une autre dimension. Cela aura pour conséquence de séparer une nouvelle fois Ratchet et Clank qui vont devoir se retrouver mais aussi réparer les dégâts causés par Nefarious, tandis que notre lombax se retrouve dans une nouvelle dimension où sa Némésis a réussi son plan de conquête et où Rivet, le double femelle de Ratchet dans cette dimension, est activement recherchée par Nefarious. Très honnêtement, et si vous avez déjà joué à un Ratchet & Clank, sachez que vous ne serez pas nécessairement surpris par la trame scénaristique du jeu. Effectivement, si de nouveaux personnages s’imbriquent bien comme Rivet et que ces voyages interdimensionnels permettent de voir les doubles de nombreux protagonistes de l’univers de Ratchet & Clank, l’histoire en elle même est diablement prévisible. Qui plus est, la fin est elle aussi rapidement devinable. Cela dit, la conclusion est dans l’ensemble convenable, même si des zones d’ombres subsistent encore. Mais ça, il est possible que cela soit traité dans un prochain Ratchet & Clank, pour répondre encore à pas mal de questions en suspens. En clair, le narration est en somme assez timide, et assez loin de la qualité d’un Ratchet & Clank A Crack in Time. De plus, on regrette que certains protagonistes passent en second plan sur cet épisode. Toutefois, le ton abordé sur ce Ratchet & Clank Rift Apart est beaucoup plus équilibré que le remake de Ratchet & Clank, qui ne faisait quant à lui qu’enchainer les gags lourdingues. Qui plus est, on apprécie tout de même que le thème des voyages interdimensionnels soit abordé plus en profondeur, ce qui donne lieu à une épopée grisante et captivante tout du long. Au passage, et ça on s’en doutait, la direction artistique de Ratchet & Clank Rift Apart est sublime. Les différentes planètes visitées disposent de biomes différents, et les joueurs devraient être ravis de revisiter des planètes connues de la licence – Sargasso et Torren VI en l’occurrence -, comme des planètes totalement inédites, inspirées et plus vivantes que jamais. Insomniac Games a achevé ici même un boulot titanesque comme sur la mise en scène impressionnante, ébouriffante et du même niveau que leur dernière production, Marvel’s Spider-Man Miles Morales. Absolument pas radin en variété ce Ratchet & Clank Qu’on se le dise, la licence Ratchet & Clank a toujours eu cette force de varier les plaisirs en matière de séquences de jeu afin de ne pas ennuyer le joueur. Une fois encore, c’est le cas sur Ratchet & Clank Rift Apart. Tout d’abord, vous aurez logiquement des gunfights où vous devrez poutrer bon nombre d’ennemis robotiques et autres créatures peu recommandables. Une fois encore, on retrouve un feeling ultra nerveux, jouissif et fun à la Ratchet & Clank, sublimé par les gâchettes adaptatives de la Dualsense, dotée d’un retour de force efficace sur les armes. Voilà déjà de quoi renforcer l’immersion sur le titre, même si l’on peut parfois noter quelques soucis de lisibilité en pleine action, et une caméra parfois discutable. Ceci dit, cela ne perturbe pas pour autant l’expérience des gunfights, efficace et avec la possibilité d’utiliser les diverses failles temporelles présentes afin d’esquiver divers ennemis. En somme, la formule n’a pas énormément bougé même si nous apprécions le système de dash, qui apporte une nouvelle faculté d’esquive intéressante, pratique et s’offrant un effet visuel délicieux. Bien entendu rassurez-vous, l’arsenal loufoque de notre lombax est toujours de la partie. Si l’on retrouve à peu de chose près les mêmes pétoires depuis la début de la licence, on apprécie les quelques nouvelles armes atypiques pour malmener nos adversaires entre le puissant exécuteur, l’arroseur topiaire ou encore le champitron. Il y a donc du choix, et sachez que le discozigzag ou encore le Pixeliser introduit dans le remake Ratchet & Clank fait son grand retour comme l’iconique TELT à récupérer. Clairement, vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer. Egalement, vous aurez toujours des phases de plateformes. Celles-ci restent incontestablement dans la veine des jeux précédents. Vous aurez effectivement des séquences où vous devez glisser sur des rails et esquiver divers projectiles, utiliser le swingeur pour vous balancer de plateforme en plateforme ou encore les magneti-bottes afin de parcourir certaines plateformes métalliques. Il y aura toujours les hoverbottes pour aller plus vite et sauter de plateforme en plateforme, comme la possibilité de courir sur les mursvia les plateformes adéquates, ce qui est au passage l’une des autres nouveautés du soft, et apportant un plus non-négligeable. Indéniablement, la formule Ratchet & Clank n’a pas été tant bouleversée que ça, mais s’accorde quelques retouches qui font plaisir. Au passage, Clank n’est également pas en reste avec des passages bien à lui. Un peu à la manière d’un Rachet & Clank A Crack in Time, notre comparse sera amené à résoudre des puzzles afin d’atténuer diverses anomalies dimensionnelles. Pour ce faire, vous devrez faire progresser les copies de Clank en utilisant diverses sphère de poids, légèreté, électrique ou de vitesse afin de les faire progresser jusqu’à la porte et ainsi de suite. Il faut bien l’admettre, ces phases avec Clank n’en reste pas moins agréables, et fait un peu travailler votre matière grise afin de progresser. Cerise sur le gâteau, le titre nous propose aussi une autre séquence peu commune où nous contrôlons également Glitch. Insérée directement dans une machine par Ratchet, notre mini créature robotique aura pour objectif dans chacune de ces séquences de détruire des nids de virus. Vous l’aurez ainsi compris, Ratchet & Clank Rift Apart ne lésine absolument pas sur la variété. Toutefois, on pourra regretter des boss qui n’en restent pas moins trop répétitifs comme sur le bestiaire global, qui aurait dû introduire de nouvelles créatures à affronter. Cela dit, la progression est équilibrée avec un level-design soigné, et on retrouve bien entendu les mythiques combats en arènes vous donnant en récompenses divers équipements ou boulons, ou encore des phases dans les airs ou de courses » à dos de créature disposant de sensations de vitesse assez bluffantes. Un système d’amélioration qui ne change pas l’ADN de la franchise Avant de partir sur l’aspect amélioration, il faut savoir que la progression de Ratchet et Rivet sera commune. Autrement dit, si Ratchet achète une arme via le magasin ou obtient un nouvel équipement, Rivet en bénéficiera automatiquement. Sans surprise, le gameplay des deux personnages est pratiquement proche, à l’exception de Rivet qui possède un marteau pour le corps à corps. Mais en soi ce détail n’est pas gênant, dans la mesure où le flow entre nos deux lombax n’est pas foncièrement le même, ce qui fait la différence. Pour le reste, et tout juste avant d’aborder les vraies nouveautés de l’amélioration de nos protagonistes, sachez que l’on reste sur la même disposition que les précédents volets en matière de levelling. En dézinguant vos ennemis et en utilisant vos armes sur ces derniers, vous gagnerez de l’expérience et monterez en niveau automatiquement vos armes et points de vie. Clairement, il n’y a rien de bien nouveau comme l’amélioration des armes, améliorables via le magasin avec du raritanium trouvable dans les niveaux. Bien entendu, notez qu’en montant de niveau vos armes, vous débloquez un nouvel arbre à compétences de ceux-ci. Les bases instaurées depuis Ratchet & Clank Into the Nexus n’ont ainsi pas été touchées, sauf pour l’armure. En effet, l’armure de Ratchet et Rivet est désormais fractionnée en trois parties avec le casque, le plastron ainsi que les jambières. En visitant les nombreuses planètes ou poches dimensionnelles, vous pourrez obtenir l’une de ces trois parties, ce qui vous octroiera quelques bonus passifs intéressants, et une légère influence sympathique sur le gameplay – prendre moins de dégâts sur certains types d’ennemis, récupérer plus de boulon etc. Concrètement, mis à part ce système d’armure vachement plaisant sur le fond et la forme, Ratchet & Clank Rift Apart a conservé à la virgule près l’ADN de la franchise, ce qui ne déroutera pas les fans de la licence, comme les nouveaux venus. Côté interface, tout est également assez clair et concis comme la map de chaque planète. Le replay value assuré Sur la durée de vie maintenant, le bébé d’Insomniac Games est dans les clous de ses prédécesseurs. Il faudra compter environ 10 heures pour voir le bout de l’aventure en trainant légèrement la patte. Bien entendu, cette durée de vie peut s’allonger logiquement jusqu’à 20 ou 25 heures en tentant de récupérer tous les boulons d’or, les lorbes, les ours en peluche, ou encore les robots espion et le fameux TELT. Evidemment, sachez que vous aurez toujours la possibilité de naviguer assez librement entre les planètes quand cela est possible. Concernant le replay value, sachez qu’il est assuré rien que par le mode défi du soft. En effet, une fois le titre terminé une première fois, vous pourrez accéder à ce mode qui vous permet de recommencer le jeu avec vos armes et améliorations. Qui plus est, vous aurez même la possibilité d’acheter vos armes actuelles dans leur version oméga, vous donnant la faculté de les améliorer jusqu’au niveau 10, celles-ci étant limitées au niveau 5 sur votre première partie. Rien qu’avec le mode défi, vous pourrez ainsi prolonger l’expérience déjà plaisante de Ratchet & Clank Rift Apart et finir tranquillement le jeu à 100 %, les collectibles déjà ramassés sur votre première partie étant comptabilisés. Enfin le début de la next-gen ? Si vous pensiez que Ratchet & Clank Rift Apart allait marquer le début de la next-gen, vous aurez le plaisir d’apprendre que la réponse est définitivement oui. La production d’Insomniac Games, en sus de nous proposer des décors très variés, s’offre un aspect graphique des plus flamboyants. La transition entre les dimensions est rapide et sans fioriture comme entre les cinématiques et le ingame, faisant presque penser que l’on joue à un film d’animation en 3D façon Pixar. Au passage, les textures du jeu sont diablement impressionnantes comme les animations et les arrière-plans efficaces et débordant de vie, notamment sur Nefarious City. Qu’on se le dise, le boulot technique et visuel accompli chez Insomniac Games est juste brillant jusque dans les animations de nos protagonistes, impeccables. Que ce soit également dans les différents effets graphiques ou encore la fluidité sans faille proposée par le titre, on part sur un quasi sans fautes. On pourra encore un peu pester sur de petits bugs ou quelques collisions parfois hasardeuses mais dans l’ensemble, Ratchet & Clank Rift Apart est une belle vitrine technologique de la PS5, et donne diablement envie de voir le potentiel des prochains jeux next-gen. On termine évidemment par la bande-son. On ne va pas se le cacher, le doublage VF de Ratchet & Clank Rift Apart est une fois de plus de qualité, comme les précédents volets. Rien à redire dessus comme les thèmes musicaux, collant à la perfection avec l’atmosphère proposée sur chaque planète. Certaines musiques épiques du soft seront certes un peu génériques dans l’ensemble, mais le tout reste efficace. Promo Pas de doute, Ratchet & Clank Rift Apart s’impose comme une aventure aussi efficace et prenante que ses prédécesseurs. Malgré des écueils avec quelques imprécisions, une répétitivité sur les boss, des bugs et des lacunes sur la narration, le titre d’Insomniac Games parvient sans problème à se rattraper brillamment sur de nombreux points. Effectivement, le soft réussi avec brio à impressionner avec son aspect visuel époustouflant et ses transitions impressionnantes entre les dimensions et les temps de chargement éclair entre cinématiques et ingame. Qui plus est, le soft est aussi divin dans son gameplay qui repose sur des bases solides tout en subissant quelques retouches intelligentes, bienvenues, et avec un apport de la Dualsense qui renforce de manière habile l’immersion. Incontestablement, Ratchet & Clank Rift Apart est une aventure non seulement épique mais aussi presque proche des films d’animation Pixar. En sus, cette épopée est variée de bout en bout, et doté d’une durée de vie suffisamment costaud pour passer des heures et des heures à visiter les nombreuses planètes et dimensions en compagnie de nos deux lombax.
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Hello les amis ! On se retrouve aujourd’hui pour un nouveau test qui a quelques mois de retard et on va parler de Ratchet & Clank Rift Apart, l’une des exclusivités majeures de la Playstation 5 pour cette année 2021. Le titre est sorti le 11 juin 2021 sur PS5 uniquement donc, et il fait suite directe à l’épisode Playstation 4 qui date lui d’avril 2016, et qui était un reboot de la franchise. Après un opus précédent très réussi, est-ce que Insomniac Games nous propose une fois de plus une œuvre au top et qui profite des caractéristiques de la nouvelle machine de Sony ? C’est ce que nous allons découvrir ! Ne touche pas à ma dimension Comme je le disais un peu plus haut, Ratchet & Clank Rift Apart fait suite au reboot de la franchise sur Playstation 4. Nos deux héros sont devenus des héros, et le jeu débute par la célébration de leurs précédents exploits. Evidemment, tout ne va pas se passer comme prévu, et l’ignoble et surtout très drôle Dr Nefarious va venir semer la pagaille. Grâce à une arme qui se nomme le dimensionnateur, il va réussir à voyager à travers les dimensions, mais surtout à créer des portails un peu partout, ce qui engendrera le chaos le plus total. À la suite de ces évènements, le lombax et son ami robotique vont se retrouver à devoir une fois de plus sauver le monde, mais surtout l’ensemble des dimensions. Mais pour cela, ils vont être aidés par leurs alter-egos, qui se nomment Rivet et Kit. Rivet est un gros coup de coeur pour moi, elle a un caractère bien différent de Ratchet. Le scénario du jeu n’est pas incroyable c’est une certitude, les dialogues ne sont pas non plus extraordinaires, mais ce n’est pas vraiment ce que l’on attend de ce type de titre. Ce que les développeurs ont réussi à faire en revanche, et c’est tout autant important, c’est de faire un monde cohérent, et surtout avec des personnages très attachants. Ratchet & Clank sont déjà des protagonistes que j’apprécie, mais j’ai eu un gros coup de cœur pour Rivet, qui a un caractère bien différent de son double dimensionnel masculin. Pour moi c’est réellement un bon point de me faire m’attacher à l’univers et aux personnages d’un jeu de plateformes, car en général une fois le titre terminé, je ne me souviens même plus trop ce que je devais y faire tellement tout ça est traité de manière générique parfois. Enfin, parlons un peu de la durée de vie. Pour le genre elle est correcte, j’ai mis 12 heures pour voir le générique de fin, en prenant le temps de faire l’intégralité des quêtes secondaires et de récolter tous les bonus possibles. Malgré tout, cela paraît un poil léger pour un titre de cette envergure, j’aurais aimé quelques heures de plus, mais je le rappelle pour le genre ce n’est pas non plus une catastrophe. Je prendrais un arsenal complet au petit-déjeuner ! Sans grandes surprises, Ratchet & Clank Rift Apart nous sert tout ce qui fait le sel de la franchise. Nous avons donc le droit à un plateformer en 3D, qui est d’ailleurs plus axé sur les phases de tirs et d’action que sur la plateforme. Notre Lombax, ainsi que Rivet que nous allons pouvoir incarner, ont un arsenal d’armes à disposition assez incroyable pour venir à bout de leurs ennemis. C’est d’ailleurs l’une des grandes forces du jeu, au fur et à mesure de la progression, vous allez pouvoir acheter des armes toujours plus fortes et loufoques et surtout les améliorer. Ce sentiment de progression est constant tout au long de l’aventure, et il est vraiment agréable. Concernant les nouvelles capacités de nos héros, nous pouvons désormais utiliser un dash, qui permet de se projeter rapidement vers l’avant. Cette nouveauté combinée à l’agilité habituelle des protagonistes rend les affrontements encore plus intéressants. Le rythme de Ratchet & Clank Rift Apart est parfaitement géré du début à la fin. L’autre spécificité du titre qui a été mise en avant, c’est le fait de pouvoir sauter à travers les dimensions. Alors, je vais être clair sur cette feature, elle est très bien gérée mais scriptée la plupart du temps. En combat vous pourrez vous en servir comme d’une sorte de dash amélioré, afin de vous téléporter » vers un point de l’arène de combat. Ce n’est donc pas une innovation majeure, elle ne change pas vraiment les habitudes du jeu pour les connaisseurs de la franchise. Evidemment, vous ne ferez pas que combattre dans Ratchet & Clank Rift Apart, vous allez pouvoir collecter des collectibles, des armures donnant des bonus divers mais aussi accomplir des quêtes secondaires qui sont pour la plupart plutôt intéressantes. Enfin, deux mini-jeux vont être plus ou moins obligatoire, dans l’un vous allez devoir incarner une sorte d’araignée mécanique dans un mini jeu de tir, où l’objectif et d’éradiquer un virus. L’autre nous fait incarner Clank, qui aura la charge de rompre des anomalies avec des puzzles bien pensés. Pour finir concernant le gameplay, une chose m’a sauté aux yeux durant toute l’aventure, les petits gars de chez Insomniac Games ont parfaitement su gérer le rythme de leur bébé. C’est bien simple, il y a très peu de répit, les scènes d’actions s’enchainent avec des cinématiques et autres activités diverses, le tout parfaitement et sans s’essouffler. C’est bien simple, chaque heure de jeu sur le titre passe à la vitesse de la lumière un signe plutôt positif en général. C’est un film ou un jeu ? S’il y a bien une qualité qui saute aux yeux tout de suite dans ce titre, c’est sa beauté. Ratchet & Clank Rift Apart est une leçon de technique de bout en bout. On peut comprendre le souhait de Playstation d’en faire une exclusivité pour la PS5, le jeu en est un véritable porte-étendard. Tout d’abord, la technique pure fait des merveilles avec des textures ultra propres et détaillés, des effets lumineux de toute beautés, et des explosions en combat vraiment bluffantes. C’est bien simple, on a littéralement l’impression d’être devant un film d’animation par moment. Je vous invite d’ailleurs à regarder la galarie juste en dessous de ce test pour vous rendre compte du niveau de détails. Concernant la direction artistique, le jeu ne bouge pas trop par rapport à ce qu’on a connu dans l’épisode précédent. Mais il arrive tout de même à se renouveler grâce à un nombre de planètes à visiter assez conséquent, et surtout variées. On a littéralement l’impression d’être devant un film d’animation par moment. Attention toutefois, j’ai fini le jeu récemment et il restait encore quelques bugs. J’ai fini deux fois coincés dans le décor à devoir recharger ma sauvegarde pour me débloquer. Ce ne sont pas non plus des problèmes majeurs, mais ça gâche un peu l’expérience parfois et c’est dommage. Enfin, un point sur la partie sonore. La musique est assez discrète, mais elle sait être épique quand il le faut, en bref, elle est parfaitement dans le thème et raccord avec l’action. Mais le point positif majeur, c’est le doublage en français qui est vraiment de qualité. Je n’ai pas trouvé un seul doubleur qui n’était pas dans le ton, et mention spéciale évidemment à Philippe Peythieu Homer Simpson qui double le Dr Nefarious à la perfection. Fiche d’identité du jeu Edité parSony Interactive Entertainment Public+7 Développé parInsomniac Games Fourni par l’éditeurOui Date de sortie11 juin 2021 Testé surPlaystation 5 PlateformesPlaystation 5 Temps de jeu12h Les points positifsLes points négatifs• Jeu d’une beauté rarement atteinte dans un jeu vidéo• Durée de vie un peu légère• Histoire classique mais plaisante• Quelques bugs de collisions pénibles• Un arsenal d’armes loufoque et géniale• Les sauts entre les dimensions qui n’apportent pas grand-chose au gameplay• Gameplay qui innove peu mais toujours efficace• Le dash, bien pratique et qui améliore encore les affrontements• Les décors et planètes sont variés et agréables• Des quêtes annexes correctes dans l’ensemble• Un doublage en français 5 étoiles Note finale 17,5/20Gameplay 4,5/5 Durée de vie 3,5/5 Histoire/Univers 4,5/5 Direction artistique/Graphismes/Ambiance sonore 5/5 Ratchet & Clank Rift Apart avait pour ambition de montrer ce que la Playstation 5 a dans le ventre, et bien mission réussie. J’ai rarement pris une aussi grosse claque technique sur un jeu vidéo, le titre paraît parfois ressembler à un film d’animations tellement il est propre, et fourmille de détails. Mais le jeu vidéo ce n’est pas simplement que des graphismes, et là encore, les nouvelles aventures du lombax et du robot s’en tirent très bien. Grâce notamment à un gameplay qui a peu évoluer, mais qui est toujours aussi efficace, et à un arsenal d’armes tout aussi géniale que loufoque. On lui reprochera malgré tout une durée de vie un peu faiblarde pour le prix demandé 80€, mais restant correct pour le genre. A part quelques rares défauts, Insomniac Games peut se vanter d’avoir réussi le virage de la next-gen pour sa mascotte, et je ne peux que vous conseiller de tenter l’aventure, que vous soyez fan ou non du lombax. Cest sans aucun doute l'un des jeux PS5 les plus attendus en ce moment, Ratchet & Clank Rift Apart débarque ce 11 juin en exclusivité chez Sony. Les nouvelles aventures de notre Lombax préférées nous ont fait de l'oeil pendant de longs mois depuis son annonce et nous vous proposons aujourd'hui notre avis en vidéo, en complément de notre test complet.
Ratchet And Clank Rift Apart est bien le hit annoncé  C’est comme une habitude depuis quelques générations on attend Ratchet And Clank pour en prendre plein la vue avec notre nouvelle PlayStation. La série a tout ce qu’il faut dans ses bagages afin de revêtir les habits d’un véritable system seller technique à chaque fois ébouriffante et gameplay qui justifie à lui tout seul l’appellation d’origine contrôlée aux petits oignons ». Et pourtant, la licence peine, selon nous, à atteindre la popularité qu’elle mérite, à cause notamment d’un univers qui a du mal à imprimer les esprits. Une injustice profonde qui devrait désormais être de l’histoire ancienne, tant Rift Apart nous a charmé. Ratchet And Clank Rift Apart n’a rien de la seule démo technique qui ne procurerait que peu de fun. Le récit entièrement doublé et sous-titré en français approfondit la problématique-fil rouge de notre cher lombax, et le gameplay reste d’une efficacité à toute épreuve. Avant d’aller plus loin, rassurons certains joueurs qui hésiteraient à se lancer dans un univers qu’ils ne connaissent pas. Tout, dans ce hit d’Insomniac Games, est pensé pour plaire à la fois aux fans, mais aussi aux nouveaux venus. Ceux-ci auront même droit à une rapide mise en contexte en tout début de jeu, par le biais d’une phase de gameplay qui en met direct plein la vue. Bien entendu, il est hors de question de vous dévoiler des éléments décisifs de l’histoire. Mais sachez tout de même que Ratchet And Clank Rift Apart est l’épisode qui va le plus loin dans la reprise de certains codes de Star Wars. Et, ici, avec quelques apports non négligeables de l’esprit Marvel. Rien de bien surprenant de la part d’Insomniac Games, studio qui a connu un autre immense succès avec Marvel’s Spider-Man. On découvre donc une grande aventure spatiale, mais aussi un concept de multivers qui ouvre des possibilités gigantesques pour la série. Notamment en nous faisant enfin découvrir d’autres lombax, ici une fille Rivet. Et elle n’est pas là pour faire de la figuration, certaines planètes ne pourront être parcourues que par elle. Rivet n’est pas là pour faire de la figuration Ratchet And Clank Rift Apart nous embarque dans une quête en deux temps. La trame divise sa narration entre le cheminement de Ratchet, et celui de Rivet. Les deux accompagnés d’un buddy, Clank ou son alter-ego féminin qu’on vous laisse découvrir, elle aussi accompagnée d’une caractérisation soignée. C’est une bonne idée sur le papier, mais aussi à l’écran, même si l’on a une petite réserve. Clairement, incarner Rivet aura été une véritable bouffée d’air frais on n’évite pas quelques moments lourds, très 2021, mais jamais très longs, mais on regrette que les sensations de gameplay restent les mêmes qu’avec Ratchet. Pas de différentiation, et même un arsenal et des boulons / cristaux raritanium partagés. Cela provoque une certaine linéarité dans la diversité. Au-delà de cette retenue de forme, Ratchet And Clank Rift Apart est un véritable bijou de gameplay. Rappelons que la recette est désormais bien installée on fait face à une sorte de TPS / A-RPG très porté sur l’action, l’utilisation d’armes délirantes. Les déplacements répondent au doigt et à l’œil, et surtout la prise en mains se révèle immédiate. Personne n’aura le besoin d’aller vérifier la configuration des touches, Insomniac Games est passé maitre dans la jouabilité agréable. L’aventure rend les quelques améliorations de mouvements les fameux gadgets d’une fluidité exemplaire, on se rend à peine compte qu’elles permettent de nouvelles possibilités d’exploration. L’omnigant permettant l’utilisation d’un grappin ou de la longe dimensionnelle, les Hoverbottes offrant une grosse prise de vitesse, tout cela est bonnard à utiliser. Ratchet And Clank Rift Apart reste aussi très porté sur l’action, les gunfights sont au coeur du concept. Là aussi, on n’ira pas trop loin dans la description de l’arsenal qui vous attend, mais on se doit de signaler que ce n’est pas l’épisode qui innove le plus de ce côté là. Bien entendu, vous aurez droit à des flingues délirants au possible, comme le Pixéliseur qui, vous l’aurez deviné, donnent à vos ennemis un caractère rétro de l’aspect visuel aux bruitages. Une autre pétoire assure le grand spectacle, mais c’est une impressionnante surprise. Cependant, il faudra attendre soit la toute fin du cheminement, soit le new game plus pour découvrir les armes les plus intéressantes. Dommage, mais très utile pour la rejouabilité. Toujours au rayon des retrouvailles, les armures reviennent avec leurs effets indispensables, comme un bonus de 20% d’expérience, ou des dégâts en rab contre certains adversaires précis. Les mondes de Ratchet And Clank Rift Apart pourront provoquer un challenge certes limité mais tout de même marqué si vous optez pour les modes de difficulté élevés. Il faudra donc pas sous-estimer le côté A-RPG de l’expérience, principalement placé dans l’amélioration du personnage, et de son arsenal. L’expérience s’accumule non seulement pour les lombax, chaque niveau glané accordant plus de points d’énergie, mais aussi pour les armes. Comme dans un Secret of Mana mais en moins long à perfectionner, plus vous utilisez un flingue, plus il devient efficace et offre des possibilités d’améliorations à débloquer grâce au raritanium. Si les modes les plus faciles n’opposent pas de résistance, sachez que les autres vous pousseront à bien vous impliquer dans ce grind léger. La PlayStation 5, véritable star du jeu Dans le pur gameplay, ses mécaniques, Ratchet And Clank Rift Apart n’ambitionne pas de renouveler la recette, même si l’on note une planète, Savali, plus ouverte que ce que la licence a l’habitude de nous proposer. Mais ce n’est pas là que la révolution se fait. Celle-ci a un nom PlayStation 5. Vous allez non seulement découvrir le plus beau jeu disponible à l’heure actuelle, mais aussi celui qui exploite au mieux les spécificités de la console. Insomniac Games a notamment pensé des phases pour bien démontrer la puissance du SSD, et là on est dans un autre monde, dans tous les sens du terme. Par exemple, vous allez trouver des failles dimensionnelles proposant un challenge récompensé d’une pièce d’armure. L’environnement est totalement différent que celui de la planète que vous explorez. Et pourtant, vous passerez le portail avec plus de fluidité que vous ne pouvez l’imaginer. Sans un millième de seconde de temps de chargement. Ratchet And Clank Rift Apart est une telle claque technique de tous les instants qu’on a même observé un phénomène nouveau. On a, au début, eu un peu de mal à se concentrer, ce qui est évidemment signe d’un choc positif indéniable. La mâchoire en permanence déboitée, les yeux écarquillés, des mon Dieu mais qu’est-ce que c’est beau » s’échappent en permanence de notre gorge asséchée par le grand spectacle phénoménal auquel on assiste. Le jeu fera date, c’est une évidence, et l’on se demande même s’il ne faudra pas attendre très, très longtemps avant de reprendre une telle mandale. On mettait en avant la richesse des animations dans les environnements d’Astro’s Playroom, sachez qu’on est ici au-dessus. Très largement. On a rarement vu un écran aussi vivant, c’est de la folie furieuse. C’est avant tout cette avancée technique qui se paie la part du lion. On se demandait ce que pouvait bien apporter le concept de dimensions, de maitrise de l’espace-temps, surtout pendant des trailers un peu illisibles sur ce point. Manette en mains, il s’agit en fait d’un simple grappin, là encore le gameplay n’est pas bousculé. Pendant des combats, ou l’exploration, on décèle des failles, et il suffit de les viser avec L1 pour les rejoindre immédiatement dans un effet ultra-impressionnant, mais uniquement visuel. La Dual Sense, d’ailleurs, est évidemment très mise à contribution. Là encore, il vaut mieux vous laisser le plaisir de la découverte, mais sachez qu’on a différentes visées et mêmes différents effets selon la pression des gâchettes avec un principe de double-activation qu’on a croisé dans Returnal. Et c’est la foire aux vibrations haptiques, vous allez comprendre pourquoi ce pad est le meilleur sur le marché. Plein la vue, mais aussi les oreilles. Le doublage français est hyper soigné, la bande originale souligne parfaitement les nombreux moments épiques réservés par l’histoire. On vous conseille d’ailleurs d’y jouer au casque, pour mieux savourer l’impressionnant travail effectué sur les bruitages, les dialogues entre les ennemis etc. Enfin, il faut aussi aborder la durée de vie de Ratchet And Clank Rift Apart. Elle est dans la droite lignée de l’épisode de 2016, et même un peu plus solide pour le premier run. On a terminé l’aventure en seize heures, en prenant notre temps. Et il en faut une bonne grosse vingtaine pour atteindre le 100%, en terminant les quêtes annexes une par planète, en trouvant tous les boulons dorés et autres objets à collecter dont des nounours pas simples à capter. Mais ce n’est pas tout terminer la première partie lance le Mode Défi, avec de nouvelles armes cette-fois-ci capée au niveau 10 !, une difficulté rehaussée etc. Donc très grosse rejouabilité, et ce même si le Trophée de Platine est facile à débloquer. Bref, vous allez passer du temps avec les lombax, et vous allez adorer. Note 18/20  Ratchet And Clank Rift Apart n’est certes pas une révolution de la licence dans son pur gameplay, il n’en reste pas moins une méga-patate de forain dans bien des domaines. Toujours aussi agréable à jouer, et plutôt fun à suivre côté scénario, le titre d’Insomniac Games est surtout le plus beau jeu de tous les temps, à l’heure actuelle. C’est d’une beauté que seul quelques grandes productions animées peuvent atteindre, sidérant à chaque seconde. Si vous vous demandiez quel jeu pourra vous faire capter l’intérêt de cette nouvelle génération, vous l’avez sous vos yeux ébahis.
Cest donc en vitrine technologique que Ratchet & Clank: Rift Apart tente de s’imposer sur PS5. Et sur ce point c’est plus que réussi. Quelque soit le mode d’affichage choisi (4K ou non, raytracing complet ou plus “simple”) le jeu est tout simplement sublime et surtout rempli de vie de tout coté. On a vraiment l’impression de Un peu plus d’une semaine après la sortie du jeu, je vous propose aujourd’hui de découvrir mon avis sur Ratchet and Clank Rift Apart sur PlayStation 5. Il s’agit du quatorzième opus de la franchise d’Insomniac Games qui fêtera l’année prochaine son vingtième anniversaire. Après Returnal, c’est la seconde grosse exclusivité de la console de Sony mais en ce qui me concerne, nous avons là la première vraie grosse claque de la PlayStation 5 car les studios américains ont une nouvelle fois fait un boulot impressionnant. En tout cas, voici ce que je pense de ce dernier volet de la saga. C’est le bazar dans les dimensions à cause de Néfarious Comme vous pourrez le voir dans la vidéo découverte présente ci-dessous, le jeu débute dans une ville dirigée d’une main de fer par le Docteur Néfarious. Mais quelques groupes font de la résistance dont une mystérieuse Lombax qui a tendance à agacer le grand génie du mal. Oui, Ratchet n’est pas le seul de son espèce mais ça, il ne le sait pas encore. De son côté, lui et son compagnon Clank sont célébrés par les habitants de Megalopolis avec une grande parade jusqu’au moment où Néfarious et ses mercenaires débarquent et attaquent la ville. Ces derniers ont pour but de s’emparer du Dimensionateur que le petit robot vient de réparer pour son ami Lombax. Mais suite à une fausse manipulation, une faille inter-dimensionnelle s’ouvre et avale Clank, le séparant de Ratchet. C’est à ce moment qu’il fait la connaissance de Rivet, l’autre Lombax qui vit dans une dimension parallèle. Dès lors, Ratchet et Clank vont tout faire pour se retrouver. Toujours ce bon mélange de plateforme et de shoot Ceux qui connaissent bien la franchise savent que les Ratchet and Clank ont toujours été de bons jeux mêlant plateforme et phases de shoot à la troisième personne. C’est une fois de plus le cas avec cet opus qui ne révolutionne pas non plus la saga malgré quelques petites nouveautés. Ratchet and Clank Rift Apart propose des environnements plus ou moins grands qui peuvent être couloirs ou de grandes zones explorables. Vous pouvez les parcourir à pied, avec vos bottes à propulsion ou encore à dos de limace ou de dragon. Quelques phases de plateforme un peu plus complexes sont également au programme avec des courses sur des rails qui peuvent enchaîner sur des sauts, des runs sur les murs, des balancements avec le swingueur ou encore des passages dans des failles dimensionnelles où vous switchez en temps réel de planète instantanément très impressionnant techniquement. Le jeu propose également des casses tête avec Clank dans un monde virtuel où vous devez faire en sorte à ce que ses clones virtuels aillent du point A au point B sans encombre à l’aide de sphères de pouvoir. Vous avez aussi des phases avec le robot araignée virtuel qui doit éliminer des virus zeta qui infectent certaines machines. Quant à l’arène de Zurkie, elle vous propose tout un tas de défits dans lesquels vous pourrez remporter des tonnes de boulons mais aussi des bonus comme des tenues. Vous devez également fouiller un peu partout pour trouver des failles inter-dimensionnelles dans les niveaux qui vous donneront accès à des zones dans lesquelles des items cosmétiques vous attendent pour personnaliser Ratchet et Rivet. Pour faire face aux tonnes d’ennemis que vous croisez dans le jeu, vous avez une fois de plus accès à un arsenal digne de ce nom avec des armes qui peuvent être tout aussi destructrices que loufoques. Il est possible de figer vos adversaires en les transformant en plante avec l’Arroseur Topiaire, de les électrocuter entre eux avec Paratonnerre et de les finir avec Exécuteur ou Explosion fracassante. Exclusivité PlayStation 5 oblige, le jeu utilise pleinement les fonctionnalités de la manette DualSence surtout au niveau des gâchettes adaptatives. Comme pour Returnal, R2 qui sert à tirer propose deux niveaux de pression avec certaines armes. A 50% vous déclenchez le tir normal et à 100% le secondaire plus puissant mais qui consomme plus de munitions. Une fois de plus, ce système est bien pensé mais j’aurais juste aimé une plus grande résistance au niveau de la gâchette car j’ai tendance à constamment utiliser le tir secondaire. Bref, les possibilités sont nombreuses puisque vous avez accès à tout votre arsenal à n’importe quel moment et il est possible d’upgrader le tout. Pour améliorer tout cela, vous devez utiliser les armes pour les faire monter de niveau mais vous devez également passer une bonne partie de votre temps à chasser le boulon pour en acheter de nouvelles et trouver du Raritanium en tuant des ennemis ou en le trouvant sous sa forme naturelle dans les environnements. Ça prend du temps mais c’est le jour et la nuit entre une arme d’origine et une modifiée au maximum. Lors de votre première partie, les armes ne montent qu’au niveau 5 mais en New Game +, elles passent en version Omega qu’il faut acheter et qui montent au niveau 10. Mais la bonne nouvelle, c’est que Ratchet et Rivet ont un inventaire en commun donc vous n’avez qu’à améliorer les armes qu’une seule fois pour les deux Lombax. C’est bien et pas bien à la fois ça le seul gros défaut du jeu, ce que rien ne change au niveau du gameplay entre les deux personnages. Les armes, les mouvements et les attaques sont les mêmes et c’est fort dommage. Avec l’apparition d’une Lombax, Insomniac Games aurait pu proposer quelque chose de nouveau niveau gameplay. C’est juste magnifique La franchise a toujours été reconnue pour sa réalisation au top et c’est une fois de plus le cas avec ce Ratchet and Clank Rift Apart. Insomniac Games a vraiment fait du bon boulot sur le point technique avec des graphismes vraiment sublimes. Le jeu propose trois modes différents avec le mode Fidélité qui tourne en 4K 30Fps avec Ray Tracing, le mode Performance qui propose du 4K 60Fps et le mode Performance RT avec une résolution un peu plus basse mais en 60Fps avec du Ray Tracing. Mais peu importe le choix que vous faites, le jeu ne bouge pas d’un poil pour ce qui est du framerate. Pourtant par moments c’est un véritable bordel à l’écran avec des ennemis partout, des explosions et des effets de particule mais la fluidité du titre reste intacte ce qui est un vrai régal. Le level design est un véritable régal et on prend son temps sur chaque planète pour admirer la variété des décors qui nous est proposé. Corson V avec Nefarious City qui fourmille de monde et de véhicules volants, les marais acides de Sargasso et le plateau d’Urfdah sur Savali qui doit être le level le plus grand n’ont rien à avoir les uns avec les autres et il en est de même pour tous les environnements qui ont chacun leur personnalité. Le tout est sublimé avec des effets de lumière magnifiques ainsi qu’au Ray Tracing et grâce aux failles inter-dimensionnelles, il est possible régulièrement de switcher entre toutes ces planètes sans le moindre temps de chargement grâce au disque dur SSD de la console, chose impossible sur PlayStation 4. Le chara-design du jeu n’est pas en reste avec entre autres la modélisation de Ratchet et Rivet qui est impeccable au niveau de la fourrure, des textures et des animations faciales. J’aurais juste aimé un peu plus de variété au niveau des ennemis car on croise tout le temps les mêmes. LaPS5 a envahi nos rayons il y a quelques mois, sans surprise, la belle de Sony Interactive Entertainment accueille un nouvel épisode intitulé Ratchet & Clank: Rift Apart. Sans prévenir, on nous en met directement plein les yeux!Ratchet and Clank reviennent en exclusivité sur PlayStation 5 développé par Insomniac Games. Une jolie exclue qui vaut le coup d'œil. Un petit air de Star WarsScénarioRatchet et Clank font la fête en tant que héros de la galaxie. Clank a décidé d'offrir un cadeau hors du commun un Dimensionateur qui permettra à Ratchet de trouver des Lombax dans d'autres dimensions. Mais, c'est sans compter l'intervention de leur ennemi juré, le Docteur Néfarious! Ce dernier s'empare du Dimensionateur et lors d'un combat endomage le dispositif. Ainsi de nombreuses failles inter-dimensionnelles s'ouvrent mettant en péril l'ensemble des qui pique Clank à Ratchet!La base est un peu tiré par les cheveux et sert de prétexte pour une longue quête qui nous attend à travers différentes planètes et dimensions. On découvre une nouvelle Lombax, Rivet qui n'est autre que l'alter-ego de Ratchet. L'histoire est assez basique on doit récupérer des pièces pour réparer le Dimensionateur pour sauver la galaxie. On alterne en Rivet et Ratchet tout du long. Les scénaristes essaient tant bien que mal de créer des liens mais on reste sur un jeu tout public donc très basique en terme d' planète à une ambiance qui lui est propreGraphismesLe titre d'Insomniac Games est juste sublime. C'est simple, on a une impression permanente de jouer dans un film d'animation tant c'est détaillé, beau et fluide. On prend plaisir à découvrir des mondes vraiment à part aux décors diverses et variés. Généralement les niveaux impressionnent par leur taille imposante et le soucis du détail qui est apporté. Le changement de dimension instantanée est bluffantMais le plus bluffant c'est sans aucun doute le passage d'une dimension à une autre où des niveaux entiers se chargent instantanément. C'est dingue à voir et Insomniac n'hésite pas à répéter l'exercice pour nous en mettre plein les yeux. Clairement la capacité de chargement rapide du SSD de la PlayStation 5 est exploité comme il se doit. Et ce changement de niveau à volonté est exploité sous forme de gameplay afin de par exemple débloquer des passages en passant d'une dimension à une autre à l'initiative du joueur. C'est vraiment bluffant et a le droit aussi à des effets de particules à foison avec la gestion de multiples éléments. Cela se voit vraiment lorsque les ennemis lootent des pièces après les avoir vaincu. On en a de partout! C'est une belle démonstration séquences de ride sont aussi belles que trop courtes, j'en veux plus!JouabilitéLe jeu est un shooter à la troisième personne associé à des mécaniques de jeu de plateforme. Ratchet et Rivet sont équipés d'un arsenal d'armes aussi loufoques les unes que les autres. Cela peut aller à une arme qui glace les ennemis à un pixelisateur en passant par un rayon de la mort. Il y en a pour tous les styles du simple pistolet au sniper. J'ai particulièrement aimé les armes de soutien avec une armée de petits soldats qui fond sur les ennemis. On voit paquet s'affronter les unes les voyage à travers les différents univers est un plaisir car très varié en terme de gameplay. On peut se déplacer à dos d'une dragon, de limace boosté à la Fast & Furious ou tout simplement sur des bottes anti-gravitationnelles. Mon passage préféré c'est clairement de rider sur les rails. L'armée de minis-robot combattants vous rendra invincibleOn a aussi droit à quelques petits casses têtes assez faciles à résoudre. Les combats de boss sont généralement bien calibrés mais n'appellent pas forcément à une maîtrise particulière. Généralement, on tire, on recharge, on esquive et on balance tout ce qu'on a. Une stratégie peu fine qui est efficace face à tout type d'ennemis. Le bestiaire est varié. Il faudra parfois adapté ses armes en fonction de l'ennemi mais ça reste très léger. Les armes sont d'ailleurs améliorables en collectant du matériel rare du Raritanium donc. Mais il faudra aussi utilisé l'arme afin d'augmenter son niveau et débloquer les améliorations peu de douceur dans ce monde de brutBande-sonBien qu'elle accompagne l'aventure comme il se doit, aucun thème ne ressort vraiment. Les doublages sont parfait avec une synchronisation labiale planète des pirates a clairement la meilleure ambianceDurée de vieComptez une quinzaine d'heures pour terminer le jeu. Une bonne vingtaine si vous ajoutez les collectibles. Vous pouvez recommencer le jeu en gardant les armes et améliorations mais je n'y vois pas un grand jeu n'en fini pas d'impressionner visuellementBrefRatchet and Clank Rift Apart est un jeu fun à jouer. Varié et très bien réalisé, c'est aussi une belle démo technique pour la next-gen. Un jeu tout public qui plaira aux petits et . 51 33 119 258 265 45 282 138

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